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Critique de Jangelis
J'ai ouvert ce livre sans aucun a priori, je ne connaissais pas du tout l'auteur et je ne lis pas les quatrième de couverture pour ne pas dévoiler le sujet.
Un bel objet, et la couverture me donne tout de suite envie de me plonger dans le roman.
J'ai beaucoup apprécié cette plongée dans le Montmartre de la fin du 19e siècle, une découverte de la vie dans ce quartier, des incursions à Paris, et à Montparnasse.
J'ai été intéressée par Fanny, à la fois attachante et agaçante, forte personnalité qui va traverser bien des embûches et des difficultés pour essayer de sortir de sa condition.
Malgré les malheurs traversés, l'histoire reste légère et agréable à lire.
Ce roman est assez inclassable à mes yeux, à la fois peinture d'une époque, parcours personnel, histoire parfois romantique ou romanesque.
On s'attend à croiser une Fanny résolue et qui se sort de tous les pièges de la vie, et on rencontre une pauvre fille qui se fait souvent avoir, et qui peinera à s'élever comme elle le souhaite, et au prix de quels sacrifices familiaux et personnels.
J'avoue avoir un peu de mal à chroniquer ce roman, que j'ai lu avec plaisir, mais sans trop savoir où il allait m'entraîner.
Je ne voudrais pas en dévoiler trop aux futurs lecteurs, mais je trouve que le "Ce que Fanny veut, ... Fanny l'aura " n'est pas du tout un bon résumé du roman.
L'écriture m'a parfois désarçonnée, simple en général, et puis soudain certains passages que je dois relire à plusieurs reprises pour arriver à comprendre où veut en venir l'auteur. Peut-être trop littéraire pour mon niveau dans ces passages ?
En résumé, une histoire assez agréable à lire mais qui m'a un peu laissée sur ma faim.
J'ai l'impression de n'avoir que côtoyé les personnages, sans vraiment m'attacher à leur vie.
Par contre, j'ai aimé entrer dans la vie de cette époque et ces lieux, et découvrir "de l'intérieur" un triste épisode connu de la vie parisienne de l'époque.
Je ne connaissais pas du tout les livres de Karine Lebert, et je vais essayer d'en lire d'autres, pour voir si ce défaut d'unité se retrouve chaque fois, ou s'il est dû au sujet.
Je suis curieuse aussi de découvrir mieux cette collection Terre de France, qui publie aussi bien Michel Bussi que Jean Anglade et bien d'autres.
Merci aux éditions Presses de la Cité, et à Babelio Masse Critique, pour m'avoir permis de découvrir tout cela.
Un bel objet, et la couverture me donne tout de suite envie de me plonger dans le roman.
J'ai beaucoup apprécié cette plongée dans le Montmartre de la fin du 19e siècle, une découverte de la vie dans ce quartier, des incursions à Paris, et à Montparnasse.
J'ai été intéressée par Fanny, à la fois attachante et agaçante, forte personnalité qui va traverser bien des embûches et des difficultés pour essayer de sortir de sa condition.
Malgré les malheurs traversés, l'histoire reste légère et agréable à lire.
Ce roman est assez inclassable à mes yeux, à la fois peinture d'une époque, parcours personnel, histoire parfois romantique ou romanesque.
On s'attend à croiser une Fanny résolue et qui se sort de tous les pièges de la vie, et on rencontre une pauvre fille qui se fait souvent avoir, et qui peinera à s'élever comme elle le souhaite, et au prix de quels sacrifices familiaux et personnels.
J'avoue avoir un peu de mal à chroniquer ce roman, que j'ai lu avec plaisir, mais sans trop savoir où il allait m'entraîner.
Je ne voudrais pas en dévoiler trop aux futurs lecteurs, mais je trouve que le "Ce que Fanny veut, ... Fanny l'aura " n'est pas du tout un bon résumé du roman.
L'écriture m'a parfois désarçonnée, simple en général, et puis soudain certains passages que je dois relire à plusieurs reprises pour arriver à comprendre où veut en venir l'auteur. Peut-être trop littéraire pour mon niveau dans ces passages ?
En résumé, une histoire assez agréable à lire mais qui m'a un peu laissée sur ma faim.
J'ai l'impression de n'avoir que côtoyé les personnages, sans vraiment m'attacher à leur vie.
Par contre, j'ai aimé entrer dans la vie de cette époque et ces lieux, et découvrir "de l'intérieur" un triste épisode connu de la vie parisienne de l'époque.
Je ne connaissais pas du tout les livres de Karine Lebert, et je vais essayer d'en lire d'autres, pour voir si ce défaut d'unité se retrouve chaque fois, ou s'il est dû au sujet.
Je suis curieuse aussi de découvrir mieux cette collection Terre de France, qui publie aussi bien Michel Bussi que Jean Anglade et bien d'autres.
Merci aux éditions Presses de la Cité, et à Babelio Masse Critique, pour m'avoir permis de découvrir tout cela.
