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Critique de pegase-shiatsu


Cela commence un peu à la manière d'un Sherlock Holmes : une discussion entre le héro et son biographe... Maurice Leblanc aimerait bien que Arsène Lupin se confi sur plus d'affaires et sur sa vie personnelle. Pour lui le public en sait si peu... On sait bien toutes les affaires dans lesquelles il a été impliqué, par les coupures de journaux, mais comment il s'y est impliqué, et tous les secrets de sa vie personnelle, on en sait bien assez... Après tout c'est un cambrioleur... il a beau faire de la bravade qui apparaît fantaisiste, sa bravade n'est pas pour informer le publique, bien souvent ce n'est que pour manipuler sa proie... Il dit ce qu'il veux bien dire au mieux de ces intérêts... Sauf qu'un biographe, évidemment cela veux plus... Alors Lupin accepte de s'exécuter... et il dicte une série de chiffre... Comme d'habitude, on ne sait pas où il veux en venir... il agit au gré de sa fantaisie pour raconter son histoire... Et l'auteur suit les fantaisies de Lupin, même s'il aimerait bien comprendre... après un mystérieux message codé qui ne lui en dit pas beaucoup, voilà qu'il faut qu'il appelle un baron.. Et le cambrioleur fait obéir son biographe, le mêle à son aventure avec fantaisie, il s'amuse à le diriger sans lui expliquer à quoi cela rime... et quelle est cette nouvelle intrigue... C'est que le cambrioleur réfléchit à une affaire en cours... le biographe qui voulait seulement des confidences sur les enquêtes passées est entraîné malgré lui dans une affaire... Il sert les Watson aveugle et obéissant à un Arsène Lupin qui semble en pleine enquête.... Un début qui nous fait habilement nous donner envie d'en savoir plus, tant que l'on abuse pas de ce schéma... Un Arsène Lupin enquêteur, et pas seulement le bras vengeur des petits ruinés ou assassinés... Dans cette nouvelle on suit la pensée d'Arsène... Comment il découvre une sinistre vérité que personne, à par lui et les victimes, ne soupçonnent..
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