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Critique de FabtheFab
Elias a dix ans et il vit avec ses parents et la chatte, Chattemoche. Un samedi, il joue à Minecraft sur la tablette de ses parents mais il en casse malencontreusement l'écran. Comme il peut l'utiliser seulement une fois par semaine le samedi, il a donc une semaine pour avouer son forfait et il envisage tous les stratagèmes pour éviter une punition exemplaire. Il joue tout d'abord au fils parfait mais en en vain car il provoque des catastrophes, il essaie d'être attentif à ses parents mais il renverse tous les conseils que ses parents lui donnent habituellement et il les agace… Que faut-il donc faire ?
Audrey Lecoq connue sous le nom de Titiou Lecoq est une journaliste, féministe, blogueuse, essayiste et romancière française, spécialiste de la culture web. Elle publie tout d'abord Les Morues en 2011 au Diable vauvert et tient en parallèle le blog Girls and Geeks dans lequel elle raconte son quotidien à Paris et sa vie amoureuse. Elle collabore avec le magazine en ligne Slate.fr pour lequel elle a écrit plus de 250 articles. En 2017, dans Libération, elle trace le portrait de femmes victimes de féminicides. Titiou Lecoq milite pour une reconnaissance de ces assassinats à l'échelle de la société. La même année, elle publie chez Fayard, un essai intitulé Libérées ! le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale, consacré à la charge mentale qui pèse sur les jeunes mères. Elle décrit la persistance de la répartition inégalitaire des tâches ménagères et la double contrainte entre le travail à l'extérieur et dans la maison, qu'elle exprime ainsi : « On ne peut pas travailler comme nos grands-pères et tenir la maison comme nos grands-mères.» - source : Wikipédia
Cette lecture commence comme un roman de bêtises classique amusant avec une succession de catastrophes provoquées par le jeune héros, nous apprécions d'autant plus les dialogues de cette famille que toute l'histoire est racontée par le chat de la famille qui connaît bien son petit monde et s'attend aux réactions aussi bien de son petit maître que des parents. Les réparties sentent le vécu et il y a donc une justesse dans le point de vue.
Nous pouvons néanmoins regretter que la narration bascule dans un second temps vers le roman d'avertissement avec des explications appuyées sur les réactions des adultes puis des conseils adressés aux enfants sur la manière de gérer les bêtises avec ses parents. Cette conclusion didactique est renforcée par une postface avec un questionnaire adressé au lecteur sur la manière d'éduquer ses parents afin d'évaluer le degré d'autonomie de l'enfant et la liberté autorisée par les parents. C'est dommage.
Audrey Lecoq connue sous le nom de Titiou Lecoq est une journaliste, féministe, blogueuse, essayiste et romancière française, spécialiste de la culture web. Elle publie tout d'abord Les Morues en 2011 au Diable vauvert et tient en parallèle le blog Girls and Geeks dans lequel elle raconte son quotidien à Paris et sa vie amoureuse. Elle collabore avec le magazine en ligne Slate.fr pour lequel elle a écrit plus de 250 articles. En 2017, dans Libération, elle trace le portrait de femmes victimes de féminicides. Titiou Lecoq milite pour une reconnaissance de ces assassinats à l'échelle de la société. La même année, elle publie chez Fayard, un essai intitulé Libérées ! le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale, consacré à la charge mentale qui pèse sur les jeunes mères. Elle décrit la persistance de la répartition inégalitaire des tâches ménagères et la double contrainte entre le travail à l'extérieur et dans la maison, qu'elle exprime ainsi : « On ne peut pas travailler comme nos grands-pères et tenir la maison comme nos grands-mères.» - source : Wikipédia
Cette lecture commence comme un roman de bêtises classique amusant avec une succession de catastrophes provoquées par le jeune héros, nous apprécions d'autant plus les dialogues de cette famille que toute l'histoire est racontée par le chat de la famille qui connaît bien son petit monde et s'attend aux réactions aussi bien de son petit maître que des parents. Les réparties sentent le vécu et il y a donc une justesse dans le point de vue.
Nous pouvons néanmoins regretter que la narration bascule dans un second temps vers le roman d'avertissement avec des explications appuyées sur les réactions des adultes puis des conseils adressés aux enfants sur la manière de gérer les bêtises avec ses parents. Cette conclusion didactique est renforcée par une postface avec un questionnaire adressé au lecteur sur la manière d'éduquer ses parents afin d'évaluer le degré d'autonomie de l'enfant et la liberté autorisée par les parents. C'est dommage.
