Je ne connaissais rien de lui, excepté le son de sa voix à travers chacune des émotions qu’il exprimait. Plus rauque quand il était au bord des larmes, pleine de dignité quand il faisait preuve d’optimisme. Il y avait une familiarité indéniable entre nous. D’une manière cathartique, il m’aidait à affronter certains sentiments que j’alimentais toujours au sujet de Christopher. Des sentiments que j’aurais pu traîner toute ma vie. Et peut-être que, dans mon subconscient, je guérissais moi aussi de mes blessures.