Ce quatrième tome comprend 6 petites histoires inégales de Yoko Tsuno.
La belle et la bête m'a particulièrement marquée vu que l'intrigue se passe au Musée d'histoire naturelle de Bruxelles où je me rend tous les jours depuis bientôt 23 ans.
Il faudra que je regarde dans les archives pour en savoir plus sur ce "multiplicateur de force humaine" hahaha!
Challenge BD 2020
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une Bd ou il y a 4 aventures de Yoko Tsuno. grace a cela on la connait un peu mieux.
Elle est magnifique en kimono.
mais c'est sans doute le tome que j'aime le moins de toute la série
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Contrairement aux autres épisodes de ses aventures, le tome 4 de Yoko Tsuno est construit en plusieurs petites histoires.
Dan chacune d'elles, Yoko sera amenée à résoudre une énigme, avec évidemment toute son intelligence et son courage légendaires.
Cet opus, mineur par rapport aux autres, nous montre une Yoko au coeur sur la main (mais ça, on le savait déjà) et terriblement casse-cou !
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C'est le tome que j'ai le moins apprécié. Plusieurs aventures sont rassemblées dans ce même tome, mais elles sont moins développées que les tomes complets. Quant au développement des personnages, c'est de l'ordre de l'inutile.
On apprécie tout de même les dessins de Leloup.
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Plusieurs histoires courtes mettant en scène Yoko Tsuno comme ingénieure, et parfois Pol (à moto ou en fan de photographie nocturne). On découvre un personnage récurrent en la personne d'un commissaire. Leloup remontre son intérêt pour l'Allemagne, que l'on avait déjà vu dans le tome 2 qui se passait sur le Rhin (évidemment ces histoires courtes datent de plusieurs périodes, et certaines ont été écrites avant le tome 2). Par ailleurs le dernier récit contient un allusion à une autre histoire de l'album.
Les paysages sont toujours superbes. Les dialogues et scénarios de deux récits doivent beaucoup à Tillieux. Ce sont les récits les plus directs, avec de l'action, moins fantastiques, plus axés sur le policier. A l'exception d'un récit de Noël de 2 planches, la technologie est au centre des autres histoires. Avec même une pointe d'espionnage pour contrecarrer un réchauffement entre les Allemagnes... nous sommes en 1974... Guerre froide et espionnage font bon ménage.
On cerne un peu mieux Yoko Tsuno au terme des histoires, mais cela ne m'a pas convaincu. (Tout comme cela ne me convainquait pas pour les aventures de Natacha)
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Après ma première lecture, c'était le tome que j'appréciais le moins. Toutefois, quelques années plus tard, sa relecture m'a procuré autant de plaisir que les autres tomes. Bien-sur, il n'y a pas de scénario aussi compliqué, d'évolutions à rebond dans les histoires vu leur brièveté relative, mais, le plaisir de lire fût, pour moi, identique. Des personnages m'ont profondément touchés (yoko et le petit ange), l'aventure de l'araignée n'était pas aussi simple qu'il n'y paraissait, ... Bref, à l'image d'un court métrage qui peut tout autant être un chef d'oeuvre cinématographique à son niveau, je trouves ces histoires électroniques excellentes. Bon, d'accord, la beauté du dessin de Yoko fait un petit recul, mais ce n'est pas très gênant, car son pouvoir de séduction est toujours là. Merci pour ces courts métrage M. Leloup!
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Un tome d'une piètre qualité en comparaison des autres. On constate tout de suite que ces petites histoires furent créées avant le début de la série ou en même temps que le premier album, en observant le dessin. En effet, les têtes sont à nouveau disproportionnées et les visages peu réalistes. Les dialogues également sont pathétiques et bourrés de clichés affligeants.
Néanmoins, les décors sont toujours au rendez-vous, ainsi que le dessin du mouvement que R. Leloup réussit à merveille.
Bref, cet album ne vaut pas vraiment la peine, si ce n'est pour le collectionneur ou grand fan de la série.
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