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Critique de NineRouve


Sourire.
Quand je n'arrivai plus à livre, je me suis dit qu'un Marc Levy me redonnerait goût.
Rire. Un peu plus et je m'arrêtai à la page 25. Je sortais de la porte, de Magda Szabo, texte traduit en plus, même pas l'original, et là, l'idée du bonheur était la-bo-rieuse. Ô la vache.
Donc c'est mal écrit. En fait il n'y a pas de musicalité. Ca s'adresse à je sais pas quoi, je sais pas lequel des cerveaux, quelle partie, mais pas à tous mes sens, toutes mes perceptions. On trouve des phrases avec des énumérations de 5 ou 6 items séparés par des virgules et pour le dernier par un et. C'est lourd de chez lourd. On avance alors un peu en accéléré ; à la page 40 j'étais paumée dans les personnages, entre les jeunes et les vieux, les filles et les gars.
Mais j'ai lu, et jusqu'à la fin ¬– même si j'ai mangé quelques pages –.
Il y a donc une magie aux textes de Marc Levy. Les liens entre les personnages sont attractifs. Non au sens de prix ou de promos, mais au sens où la tension de l'élastique, du lien, entre 2 voire 3 personnages nous tient et nous emmène. En quelques heures, on a l'histoire ; c'est bien, ça fait du bien.
-N.
Lien : https://wp.me/p7tSc7-B2
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