« Tourmenté aussi par la pensée d’avoir dans mon lit une créature aussi sincère et audacieuse. Je ne voulais pas non plus être charmé par ton exubérance. Impressionné par ta loyauté envers tes amis. Touché par ta volonté de rendre notre mariage heureux, en dépit des terribles circonstances dans lesquelles il a eu lieu. »
« Je n’ai jamais voulu te désirer […] Je savais que tu pénétrerais en moi comme un poison, dont on ne peut se débarrasser. »
Le mariage n’était pas censé apporter le bonheur, mais la sécurité, un statut social, et l’argent. Avec un peu de chance on pouvait aussi y gagner une relation agréable, ce qui menait probablement au bonheur.
Certaines personnes savaient apprécier les petits plaisirs de la vie : un bon livre, un beau jardin, un intérieur paisible. Rien ne leur plaisait davantage que de se cultiver en lisant ou en pratiquant un art tel que la peinture ou la musique, ou encore en secourant les faibles et les malades. De telles personnes étaient véritablement nobles et dignes d’admiration.
— J’aime sa bonté et sa douceur.
— Naturellement. Elle a tendance à ne voir chez les gens que le meilleur, même quand ils ne le méritent pas.
Aucun homme ne mérite que l’on renonce à ses amies.
Un homme qui ne s’intéresse qu’à votre fortune et vos relations ne vous rendra jamais heureuse.