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Critique de Marti94
Après avoir goûté à Capri et autres îles italiennes, j'ai lu "Le goût de Naples" de Pascale Lismonde.
Journaliste et spécialiste de l'Italie, elle a sélectionné les textes courts de ces deux recueils publiés aux éditions Mercure de France.
Pour la bouillonnante métropole méditerranéenne, les extraits sont organisés judicieusement et présentés en trois chapitres : le choc des cultures puis Ville-volcan ville-dionysiaque et enfin des chants, de la volupté, de l'amour.
On y apprend le tumulte, le bruit des voitures, les odeurs de Naples où tous les écrivains-voyageurs sont passés dès le 18e siècle dans la tradition du voyage en Italie. A comparer à Venise comme le fait Régis Debray c'est là que se trouve la vraie nature italienne.
Pour autant, j'ai retrouvé le même défaut que dans le recueil sur Capri, à savoir le manque de diversification des oeuvres. Et si je trouve passionnante cette façon d'appréhender les lieux par la littérature (et dans ce domaine je reconnais l'expertise de Pascale Lismonde), je n'ai pas eu de révélation pour de nouvelles lectures à mettre dans ma PAL. Je connaissais déjà les romans d'Erri de Luca que j'ai été heureuse de retrouver.
J'ai donc un avis mitigé (mais pas négatif) sur ce livre que je garde au chaud dans ma bibliothèque car je pourrais y revenir à l'occasion qui j'espère ne manquera pas.
Journaliste et spécialiste de l'Italie, elle a sélectionné les textes courts de ces deux recueils publiés aux éditions Mercure de France.
Pour la bouillonnante métropole méditerranéenne, les extraits sont organisés judicieusement et présentés en trois chapitres : le choc des cultures puis Ville-volcan ville-dionysiaque et enfin des chants, de la volupté, de l'amour.
On y apprend le tumulte, le bruit des voitures, les odeurs de Naples où tous les écrivains-voyageurs sont passés dès le 18e siècle dans la tradition du voyage en Italie. A comparer à Venise comme le fait Régis Debray c'est là que se trouve la vraie nature italienne.
Pour autant, j'ai retrouvé le même défaut que dans le recueil sur Capri, à savoir le manque de diversification des oeuvres. Et si je trouve passionnante cette façon d'appréhender les lieux par la littérature (et dans ce domaine je reconnais l'expertise de Pascale Lismonde), je n'ai pas eu de révélation pour de nouvelles lectures à mettre dans ma PAL. Je connaissais déjà les romans d'Erri de Luca que j'ai été heureuse de retrouver.
J'ai donc un avis mitigé (mais pas négatif) sur ce livre que je garde au chaud dans ma bibliothèque car je pourrais y revenir à l'occasion qui j'espère ne manquera pas.
