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Critique de MMK135


D'accord pour qualifier le roman d'inégal. Ça commence pourtant plutôt pas mal à New York. Puis les nombreuses péripéties (culminant avec la capture rocambolesque à Tsarkoie Selo...) entrecoupées de scènes d'amour libertaire (dit poliment) entre Zander et Lili des parties 2 (Petrograd) et 3 (Ekaterinbourg) m'ont fatigué... Overdose de romanesque. Là j'avais envie d'abandonner la lecture et de noter 2 *. Finalement la mort à mi-roman de l'héroine permet de faire rentrer le livre dans un registre plus noir réussi. Les parties 4 (avant-guerre, période des purges) et 5 (après-guerre, persécutions des Juifs) à Moscou sont de loin les meilleures. D'où ma note de 4 *.

Je dois dire que j'ai été attiré au thème de ce roman par le grandiose "L'homme qui aimait les chiens" de Leonardo Padura. Ni l'écriture (aucune citation mémorable) ni l'histoire (c'est une fiction) de "The revolutionist" n'arrivent à égaler le Padura mais je reconnais que j'ai passé un bon moment en dévorant la fin du livre de Littell avec en prime un parallèle entre les 2 oeuvres : l'assassinat (réel) de Trotski contre celui (imaginé) de Staline.
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