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Critique de Diabolau
Cette anthologie, j'ai mis énormément de temps à la finir. Autant le dire, c'est pas bon signe.
Tellement de temps que j'ai oublié jusqu'au sujet de la plupart des nouvelles que j'ai lues dans les premières et même au milieu, c'est dire si elles m'ont marqué.
Bref, très rapidement, pour moi seuls Maravelias et Mayeras tirent à peu près leur épingle du jeu, et Gustawsson pour sa deuxième moitié (la première semble avoir été écrite pour vous ôter toute envie de la finir, apparemment). Tackian en embuscade avec sa gentillette histoire du chat Bisou.
Le reste oscille entre le très dispensable et le carrément mauvais.
Seul avantage : 5 €, pas cher. Et pratique. Parce que pour vraiment pas cher, ça m'a permis de me souvenir avec force pourquoi je ne lis jamais les romans de la plupart des auteurs en question : beaucoup d'entre eux écrivent comme ils parlent (je soupçonne même que certains d'entre eux n'oseraient jamais parler comme ils écrivent), élaborent des intrigues et des rebondissements allant de l'improbable au grotesque, développent beaucoup trop de personnages pour des textes aussi courts, ont recours à des personnages totalement caricaturaux, et quand ils abordent un sujet un tant soit peu technique, ne prennent même pas la peine de se documenter vraiment dessus.
J'en connais pourtant au moins un ou deux qui sont capables de bien mieux que ça, mais là c'était service minimum, visiblement.
Tellement de temps que j'ai oublié jusqu'au sujet de la plupart des nouvelles que j'ai lues dans les premières et même au milieu, c'est dire si elles m'ont marqué.
Bref, très rapidement, pour moi seuls Maravelias et Mayeras tirent à peu près leur épingle du jeu, et Gustawsson pour sa deuxième moitié (la première semble avoir été écrite pour vous ôter toute envie de la finir, apparemment). Tackian en embuscade avec sa gentillette histoire du chat Bisou.
Le reste oscille entre le très dispensable et le carrément mauvais.
Seul avantage : 5 €, pas cher. Et pratique. Parce que pour vraiment pas cher, ça m'a permis de me souvenir avec force pourquoi je ne lis jamais les romans de la plupart des auteurs en question : beaucoup d'entre eux écrivent comme ils parlent (je soupçonne même que certains d'entre eux n'oseraient jamais parler comme ils écrivent), élaborent des intrigues et des rebondissements allant de l'improbable au grotesque, développent beaucoup trop de personnages pour des textes aussi courts, ont recours à des personnages totalement caricaturaux, et quand ils abordent un sujet un tant soit peu technique, ne prennent même pas la peine de se documenter vraiment dessus.
J'en connais pourtant au moins un ou deux qui sont capables de bien mieux que ça, mais là c'était service minimum, visiblement.
