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Critique de Gernidin
L'avantage avec Sherlock Holmes c'est qu'il est tellement connu qu'on n'a pas besoin de le présenter et pour peu que l'on soit aussi un admirateur des oeuvres de Lovecraft alors tout est pour le mieux.
D'ailleurs, Watson, le narrateur, nous plonge illico presto dans le vif du sujet avec un premier affrontement avec le mythe dans de sombres cavernes. Vu l'age du célèbre duo, qui est en fin de carrière, on s'attend à des aventures pétries d'arthrose mais que nenni ! Holmes pète le feu et il semble jouer une partie d'échec machiavélique contre R'luhlloig. Chaque adversaire tentant tour à tour de prendre le dessus grâce à son intelligence supérieure, laissant le pauvre Watson toujours à la traine. le rythme est plus frénétique que dans les romans de Conan Doyle et cette aventure se conclue par un combat dantesque dans un lieu que les fans des Grands Anciens connaissent parfaitement et que je ne peux divulgâcher. Sachez simplement qu'il s'agit d'une ile. Les univers des deux auteurs se confondent à merveille sous la plume de James Lovegrove qui, c'est évident, y prend un plaisir non dissimulé en se mettant lui-même en scène.
On passe donc un très agréable moment avec nos deux compères dans ce roman vivant qui est bien mieux qu'un hommage.
On admirera aussi les splendides couvertures à l'ancienne que Bragelonne à réalisé qui font briller de mille feux cette trilogie.
Lien : https://lemondedezordar.word..
D'ailleurs, Watson, le narrateur, nous plonge illico presto dans le vif du sujet avec un premier affrontement avec le mythe dans de sombres cavernes. Vu l'age du célèbre duo, qui est en fin de carrière, on s'attend à des aventures pétries d'arthrose mais que nenni ! Holmes pète le feu et il semble jouer une partie d'échec machiavélique contre R'luhlloig. Chaque adversaire tentant tour à tour de prendre le dessus grâce à son intelligence supérieure, laissant le pauvre Watson toujours à la traine. le rythme est plus frénétique que dans les romans de Conan Doyle et cette aventure se conclue par un combat dantesque dans un lieu que les fans des Grands Anciens connaissent parfaitement et que je ne peux divulgâcher. Sachez simplement qu'il s'agit d'une ile. Les univers des deux auteurs se confondent à merveille sous la plume de James Lovegrove qui, c'est évident, y prend un plaisir non dissimulé en se mettant lui-même en scène.
On passe donc un très agréable moment avec nos deux compères dans ce roman vivant qui est bien mieux qu'un hommage.
On admirera aussi les splendides couvertures à l'ancienne que Bragelonne à réalisé qui font briller de mille feux cette trilogie.
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