Avec
CELLE QUI PARLE AUX CORBEAUX ,
Melissa Lucashenko nous met tout de suite en garde , tous les faits relatés dans ce roman , décrivent une réalité, celle de sa famille ,de ses ancêtres : la violence envers les aborigènes .
Le ton est donné.
Dans les terres spoliées de l'Australie, une famille aborigène rocambolesque lutte pour récupérer l'héritage de leurs ancêtres.
Kerry revient dans sa ville natale pour les obsèques de son grand-père.
Retour dans sa famille et ce bush australien qu'elle a fui toute sa vie . Elle a un casier judiciaire long comme le bras , tout comme sa famille rocambolesque.
J'ai été peu charmée par la violence et le vocabulaire vulgaire tout au long du livre. le patois aborigène présent tout du long n'y est pour rien .
C'est rare ,mais je n'ai pas réussi à entrer dans l'histoire .
Je remercie toutefois NetGalley France et les Éditions du seuil pour cette lecture qui me bouscule dans mes habitudes.