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Critique de 3447
Tellement beau, tellement magnifique, tellement grandiose, tellement addictif, tellement prenant, tellement palpitant… Je ne sais pas quel mot choisir. J'ai tout adoré dans ce livre – j'ai tout adoré dans cette trilogie en fait. Encore une fois, les stratégies sont plutôt simples à comprendre, la plupart des « retournements de situation » étaient prévisibles, je n'ai pas eu de révélation surprise, je m'attendais à certaines « découvertes » depuis le premier tome. Mais, comme précédemment, ça ne m'a pas dérangée. J'ai été totalement happée par le récit et j'ai été chaque fois très contente de découvrir que mes hypothèses étaient vraies. Sans cela, j'ai tout de même été surprise par certains éléments de l'intrigue, certains petits rebondissements, les décors, les créatures. Concernant ces dernières, j'ai vraiment beaucoup aimé les découvrir. Chacune avait un côté très attachant, on sentait que tout était approfondi, tout était précis, travaillé, sérieux.
D'ailleurs, les personnages sont absolument magnifiques. Perséphone est incroyable, j'adore son caractère et sa manière de gérer l'imprévu et les situations catastrophes. Mewen, depuis le début, je suis fan, il est merveilleux. Leur relation est magique, elle est belle et pure, les rebondissements les concernant m'ont tous énormément plu, j'adore ce genre de romance, avec le côté tragique et le côté passionné, sans oublier la taquinerie et l'humour. Ils vont me manquer. de même, Sodjinè va beaucoup me manquer, surtout ses échanges télépathiques avec Perséphone ! Sans oublier la Tante Méduse et ses fantastiques réparties ! À elle seule elle doit apporter la moitié de l'humour de ce livre ! En lisant les remerciements de l'autrice j'ai eu le plaisir de constater qu'un prequel sur Viktor – personnage que j'adore tout autant et que j'ai hâte de retrouver ! – se préparait et j'en suis soulagée : il me reste encore des questions – les mêmes que Perséphone – et je n'ai pas vraiment envie de quitter cet univers… Déjà que quitter ces personnages me fait mal au coeur, je me dis qu'au moins avec un prequel je ne quitterai pas ce monde merveilleux tout de suite.
Je ne le dirai jamais assez mais j'adore les mondes créés par Alexiane de Lys, ils sont magiques mais scientifiques, logiques, sensés en un sens, comme s'ils pouvaient réellement exister – et comme si une queue de poisson pouvait me pousser ? – et comme si les détails étaient trop abondants pour ne pas refléter la vérité. La plume de l'autrice est parfaite à mes yeux, elle est fluide et agréable, les personnages sont terriblement attachants, je suis immédiatement entrée en empathie, le récit est passionnant, plein de vérités, de puissance – une grande puissance féminine ici, d'ailleurs – mais également d'humour, d'une note de légèreté malgré l'aspect très poignant que prennent les émotions. Je voulais prendre mon temps pour lire ce livre, rester dans la diégèse un peu plus longtemps, mais en même temps impossible pour moi de le poser, d'arrêter de tourner les pages, j'ai une nouvelle fois totalement oublié le monde qui m'entourait, la vie, et je me suis retrouvée immergée dans le récit. J'en ressors avec un pincement au coeur mais la certitude que j'y replongerai lors de prochaines relectures qui me feront toujours autant sourire.
D'ailleurs, les personnages sont absolument magnifiques. Perséphone est incroyable, j'adore son caractère et sa manière de gérer l'imprévu et les situations catastrophes. Mewen, depuis le début, je suis fan, il est merveilleux. Leur relation est magique, elle est belle et pure, les rebondissements les concernant m'ont tous énormément plu, j'adore ce genre de romance, avec le côté tragique et le côté passionné, sans oublier la taquinerie et l'humour. Ils vont me manquer. de même, Sodjinè va beaucoup me manquer, surtout ses échanges télépathiques avec Perséphone ! Sans oublier la Tante Méduse et ses fantastiques réparties ! À elle seule elle doit apporter la moitié de l'humour de ce livre ! En lisant les remerciements de l'autrice j'ai eu le plaisir de constater qu'un prequel sur Viktor – personnage que j'adore tout autant et que j'ai hâte de retrouver ! – se préparait et j'en suis soulagée : il me reste encore des questions – les mêmes que Perséphone – et je n'ai pas vraiment envie de quitter cet univers… Déjà que quitter ces personnages me fait mal au coeur, je me dis qu'au moins avec un prequel je ne quitterai pas ce monde merveilleux tout de suite.
Je ne le dirai jamais assez mais j'adore les mondes créés par Alexiane de Lys, ils sont magiques mais scientifiques, logiques, sensés en un sens, comme s'ils pouvaient réellement exister – et comme si une queue de poisson pouvait me pousser ? – et comme si les détails étaient trop abondants pour ne pas refléter la vérité. La plume de l'autrice est parfaite à mes yeux, elle est fluide et agréable, les personnages sont terriblement attachants, je suis immédiatement entrée en empathie, le récit est passionnant, plein de vérités, de puissance – une grande puissance féminine ici, d'ailleurs – mais également d'humour, d'une note de légèreté malgré l'aspect très poignant que prennent les émotions. Je voulais prendre mon temps pour lire ce livre, rester dans la diégèse un peu plus longtemps, mais en même temps impossible pour moi de le poser, d'arrêter de tourner les pages, j'ai une nouvelle fois totalement oublié le monde qui m'entourait, la vie, et je me suis retrouvée immergée dans le récit. J'en ressors avec un pincement au coeur mais la certitude que j'y replongerai lors de prochaines relectures qui me feront toujours autant sourire.
