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Critique de MeguymegInBooks
Oyé oyé, j'annonce haut et fort, nouveau book boyfriend indétrônable en la personne d'Aaron Warner. Oui, oui, c'est la bonne, je me place du côté des bad boys mais je jure solennellement que mes intentions ne sont pas si mauvaises -vous avez la presque ref ?-
Mettons les choses au clair direct... Pouf, envolé Adam. Ok il m'a souvent fait rire avec son langage pour le moins fleuri mais le plaisir s'arrête là. Je n'ai maintenant d'yeux que pour le musculeux blond torturé - Mais comment, j'ai craqué pour un blond ?-
Vous me direz "qu'est-ce-que tout ça vient faire au milieu d'une dystopie ? Faites la guerre, pas l'amour !" Mais c'est en fait toute l'originalité du livre. L'autrice met l'accent sur les sentiments. La psychologie des persos est omniprésente et on sent leur douleur d'une façon qui m'a brisé le coeur. La plume est toujours aussi elle et même s'il n'y a que le point de vue de Juliette, on arrive parfaitement à ressentir le malaise des autres, ce qui est très fort. Peu importe leur côté, ils sont tous les pantins de ce nouveau régime.
Pour autant, je peux vous assurer que l'action ne manque pas. En 400 pages, il s'en passe des choses et des combats ! Et il y a quelques PT, qui même si je les avais devinés -mon fameux "à tout moment" vous connaissez maintenant- m'ont fait dire "mamma mia !"
Malgré tout, ce tome a encore soulevé plus de questions que de réponses. Je suis frustrée et j'espère que la suite s'attardera plus sur les enjeux politiques et qu'on découvrira qui tire vraiment les ficelles. Sinon j'ai beaucoup aimé que les rebelles patientent parce qu'ils ont conscience qu'il est parfois pire de remplacer un leader sur le tas. J'ai trouvé cette approche réaliste.
Mais attention, je veux surtout encore plus d'Aaron et Juliette. Ils auront ma peau tellement leur relation est électrique. Chaque "love" de Aaron jamais démenti par Juliette et paf les papillons se remettaient à tourbillonner dans mon ventre.
"Please don't shoot me for this"
Mettons les choses au clair direct... Pouf, envolé Adam. Ok il m'a souvent fait rire avec son langage pour le moins fleuri mais le plaisir s'arrête là. Je n'ai maintenant d'yeux que pour le musculeux blond torturé - Mais comment, j'ai craqué pour un blond ?-
Vous me direz "qu'est-ce-que tout ça vient faire au milieu d'une dystopie ? Faites la guerre, pas l'amour !" Mais c'est en fait toute l'originalité du livre. L'autrice met l'accent sur les sentiments. La psychologie des persos est omniprésente et on sent leur douleur d'une façon qui m'a brisé le coeur. La plume est toujours aussi elle et même s'il n'y a que le point de vue de Juliette, on arrive parfaitement à ressentir le malaise des autres, ce qui est très fort. Peu importe leur côté, ils sont tous les pantins de ce nouveau régime.
Pour autant, je peux vous assurer que l'action ne manque pas. En 400 pages, il s'en passe des choses et des combats ! Et il y a quelques PT, qui même si je les avais devinés -mon fameux "à tout moment" vous connaissez maintenant- m'ont fait dire "mamma mia !"
Malgré tout, ce tome a encore soulevé plus de questions que de réponses. Je suis frustrée et j'espère que la suite s'attardera plus sur les enjeux politiques et qu'on découvrira qui tire vraiment les ficelles. Sinon j'ai beaucoup aimé que les rebelles patientent parce qu'ils ont conscience qu'il est parfois pire de remplacer un leader sur le tas. J'ai trouvé cette approche réaliste.
Mais attention, je veux surtout encore plus d'Aaron et Juliette. Ils auront ma peau tellement leur relation est électrique. Chaque "love" de Aaron jamais démenti par Juliette et paf les papillons se remettaient à tourbillonner dans mon ventre.
"Please don't shoot me for this"
