Le 24 mai 1941, Alexeï Berg, pianiste russe, doit présenter son premier concert. La guerre va le priver de ce bonheur et vient bouleverser son existence. Lorsque ses parents juifs sont arrêtés, il doit fuir et endosser l'identité d'un homme mort.
Voilà un court roman intimiste qui traite de la deuxième guerre mondiale d'une façon que j'ai bien appréciée. Pas de descriptions vilolentes ici qui donnent froid dans le dos et mal au coeur.
Andreï Makine ne montre pas, mais pourtant on ressent cette violence si présente, la peur des gens face à ce drame. J'ai bien aimé le style de
Makine qui a fait en sorte que j'ai embarqué à fond dans cette histoire poignante.
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