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Critique de Bookworm84
Livre lu dans le cadre du prix Imaginales des Bibliothèques.
D'habitude, j'apprécie le talent de parolier de Mathias Malzieu. Je n'avais encore jamais lu sa prose, la sélection de ce titre dans les 5 ouvrages en lice pour le prix Imaginales des Bibliothèques me fournissait l'occasion de la découvrir.
Une sirène à Paris, pourquoi pas, j'aime bien ces créatures aquatiques.
J'ouvre le livre, je débute ma lecture. Oui, je reconnais bien là le style de Malzieu : des métaphores aussi poétiques que décalées, mais toujours attachantes, en veux-tu en voilà. Chaque phrase ou presque en est une.
Hélas, trois fois hélas, il ne suffit pas de faire de jolies métaphores pour faire un bon livre. Je ne suis pas parvenue à rentrer dans l'histoire et ait finit par abandonner l'ouvrage en cours de route, assez vite d'ailleurs.
J'ai eu l'impression que l'auteur alignait les jolies phrases sans se soucier du lecteur. Je ne suis arrivée ni à m'attacher aux personnages, ni à m'immerger dans l'histoire. A force de ne lire que des métaphores, ma lecture a viré au pensum.
Ayant beaucoup de lectures en attente, tant pis, je n'insiste pas. Je n'irai pas plus loin que la page 26. C'est dire à quel point je n'ai pas accroché...
D'habitude, j'apprécie le talent de parolier de Mathias Malzieu. Je n'avais encore jamais lu sa prose, la sélection de ce titre dans les 5 ouvrages en lice pour le prix Imaginales des Bibliothèques me fournissait l'occasion de la découvrir.
Une sirène à Paris, pourquoi pas, j'aime bien ces créatures aquatiques.
J'ouvre le livre, je débute ma lecture. Oui, je reconnais bien là le style de Malzieu : des métaphores aussi poétiques que décalées, mais toujours attachantes, en veux-tu en voilà. Chaque phrase ou presque en est une.
Hélas, trois fois hélas, il ne suffit pas de faire de jolies métaphores pour faire un bon livre. Je ne suis pas parvenue à rentrer dans l'histoire et ait finit par abandonner l'ouvrage en cours de route, assez vite d'ailleurs.
J'ai eu l'impression que l'auteur alignait les jolies phrases sans se soucier du lecteur. Je ne suis arrivée ni à m'attacher aux personnages, ni à m'immerger dans l'histoire. A force de ne lire que des métaphores, ma lecture a viré au pensum.
Ayant beaucoup de lectures en attente, tant pis, je n'insiste pas. Je n'irai pas plus loin que la page 26. C'est dire à quel point je n'ai pas accroché...
