Deux volumes au compteur pour ce Parfum de l'invisible. le premier, capiteux, met en scène un chercheur qui a découvert le secret de l'invisibilité (ou plutôt qui l'a pompé sur
H. G. Wells). le gazier en profite pour se faire plaisir (tu m'étonnes…). Comme on ne peut pas le voir, c'est Miel – personnage récurrent de l'oeuvre de
Manara – qui occupe le premier rôle “visible” pour enchaîner péripéties rocambolesques et galipettes.
Le second tome, en revanche, ne sent pas la rose, avec un scénario insipide et un érotisme réduit à la portion congrue.
Mieux vaut préférer la version noir et blanc de ces opus, l'édition couleur est moche, criarde et baveuse.
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