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Critique de Barthoaluetli
6ème lecture de Laure Manel.
Si le sujet et la mise en bouche semblaient présager une très bonne lecture, l'approche choisie ne m'a pas vraiment emballé. Trop de longueur sur l'île d'Ouessant (presqu'un guide touristique). Une intrigue au dénouement assez banal, un manque de profondeur ou plutôt un survol sur les conséquences psychologiques qui auraient pu avoir un impact sur Adèle, qui finalement s'est peu intéressée à l'histoire de sa famille, jusqu'à la mort de son père et la découverte de certains éléments à la suite du tri de documents et objets.
Les passages d'amourette avec Olivier et Philippe m'ont paru peu utiles, et le survol des retrouvaille avec ses grands-parents manquaient également de profondeur.
Peut-être était-ce voulu, pour mettre en évidence le caractère trempé des Ouessantin(e)s habitués à vivre sur un bout d'île balayé par les vents et tempêtes et faire le gros dos aux rude conditions qui sont leur quotidien.
Seul Jean, grand père, gardien de phare est le personnage le plus attachant et j'oserais dire lumineux, contraste entre son métier solitaire et sa personnalité.
Cela reste un ressenti personnel, lu dans un contexte où je m'attendais sans doute à mieux.
Nul doute que les amoureux de l'île y trouveront un intérêt, qui m'était inaccessible, même si je n'ai pu m'empécher de suivre sur une carte les lieux cités pendant la lecture du roman.
Si le sujet et la mise en bouche semblaient présager une très bonne lecture, l'approche choisie ne m'a pas vraiment emballé. Trop de longueur sur l'île d'Ouessant (presqu'un guide touristique). Une intrigue au dénouement assez banal, un manque de profondeur ou plutôt un survol sur les conséquences psychologiques qui auraient pu avoir un impact sur Adèle, qui finalement s'est peu intéressée à l'histoire de sa famille, jusqu'à la mort de son père et la découverte de certains éléments à la suite du tri de documents et objets.
Les passages d'amourette avec Olivier et Philippe m'ont paru peu utiles, et le survol des retrouvaille avec ses grands-parents manquaient également de profondeur.
Peut-être était-ce voulu, pour mettre en évidence le caractère trempé des Ouessantin(e)s habitués à vivre sur un bout d'île balayé par les vents et tempêtes et faire le gros dos aux rude conditions qui sont leur quotidien.
Seul Jean, grand père, gardien de phare est le personnage le plus attachant et j'oserais dire lumineux, contraste entre son métier solitaire et sa personnalité.
Cela reste un ressenti personnel, lu dans un contexte où je m'attendais sans doute à mieux.
Nul doute que les amoureux de l'île y trouveront un intérêt, qui m'était inaccessible, même si je n'ai pu m'empécher de suivre sur une carte les lieux cités pendant la lecture du roman.
