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Critique de larmordbm
Ces courtes nouvelles de Katherine Mansfield sont des petits bijoux, des joyaux mêlant description poétique de détails de la vie quotidienne et fine analyse psychologique.
En à peine parfois 10 pages, elle nous offre de minuscules tranches de vie, qui concernent des enfants au bord de la mer en Nouvelle Zélande (Prélude) ou des instants partagés entre des couples installés, en train de se défaire ou qui n'ont pas réussi à se former. Ce sont des moments fugaces autour de personnages en proie à leurs "humeurs",
qui connaissent de terribles déceptions ou qui ne parviennent pas à satisfaire leurs désirs. Un sentiment diffus d'échec et d'inachèvement plane sur l'ensemble de ces nouvelles qui pour certaines sont traversées par la mort et pourtant cela ne retire rien au plaisir de lecture. le tout est vif, alerte, piquant, voire amusant.
Quel talent pour nous faire découvrir en si peu de pages, tout un monde, une atmosphère, des réalités sociales au travers de situations avec des personnages en "chair et en os", si proches de nous !
Ces nouvelles sont aussi belles que celles de la Garden party. Ma préférée est celle qui donne son nom à ce recueil félicité, et c'est sûrement la plus cruelle...
En à peine parfois 10 pages, elle nous offre de minuscules tranches de vie, qui concernent des enfants au bord de la mer en Nouvelle Zélande (Prélude) ou des instants partagés entre des couples installés, en train de se défaire ou qui n'ont pas réussi à se former. Ce sont des moments fugaces autour de personnages en proie à leurs "humeurs",
qui connaissent de terribles déceptions ou qui ne parviennent pas à satisfaire leurs désirs. Un sentiment diffus d'échec et d'inachèvement plane sur l'ensemble de ces nouvelles qui pour certaines sont traversées par la mort et pourtant cela ne retire rien au plaisir de lecture. le tout est vif, alerte, piquant, voire amusant.
Quel talent pour nous faire découvrir en si peu de pages, tout un monde, une atmosphère, des réalités sociales au travers de situations avec des personnages en "chair et en os", si proches de nous !
Ces nouvelles sont aussi belles que celles de la Garden party. Ma préférée est celle qui donne son nom à ce recueil félicité, et c'est sûrement la plus cruelle...
