Je vous livre la critique de
Guy Scarpetta, du Nouvel Observateur, qui me semble assez juste:
" Vous voulez savoir la nature du mal qui aujourd'hui ronge un pays comme le Pérou? Ce roman vous en dira finalement cent fois plus que des tonnes de discours politiques, idéologiques ou sociologiques... A quoi il faut ajouter et c'est sans doute ce qui donne au roman son caractère le plus hallucinant, la présence d'une violence ancestrale, enfouie, qui ne cesse de refaire surface et de hanter le présent: le monde lointain des Incas, des Huancas, qui pratiquaient les sacrifices humains... Il faut insister surtout, sur le fantastique art de la composition qui ordonne un tel roman: une véritable mécanique de précision, qui contribue puissamment à sa force d'envoûtement." (quatrième de couverture)
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