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Critique de Kyokoandbooks
Je pensais avoir affaire à une romance historique plutôt récente, mais en réalité il s'agit d'une réédition. le roman a été déjà publié il y a une dizaine d'années sous le titre La maîtresse du corsaire. Je l'ignorais, tout comme j'ignorais qu'il faisait partie d'une trilogie dont il est le second tome.
Bon sur ce point, je dois dire que ça ne gène pas la lecture. Comme souvent dans les romances, les tomes de sagas sont en fait des tomes compagnons qui développent des couples secondaires. Certes, on retrouve les personnages du premier tome dans celui ci, mais ils n'ont pas une grande importance.
L'héroine de ce roman, Grace Chastain, est une jeune fille de la bonne société londonnienne du début du 19e siècle. Mais la demoiselle n'est pas du genre à rester tranquillement à travailler ses gammes et sa broderie. Persuadée de son innocence, elle vient de faire évader de prison son père, le vicomte Forsythe, qui était accusé de trahison et condamné à mort.
Décidée à se mettre « au vert » chez une parente à Scarborough, Grace embarque à bord d'un paquebot. Helas, ce dernier est accosté par Ethan Sharpe, capitaine du Démon des Mers, qui prétend avoir reçu l'ordre de l'arrêter.
Tout d'abord, je veux préciser que j'adapte toujours mes attentes au type de livre concerné. Pour une romance historique, je serai bien moins exigeante que sur de la littérature qui se veut plus sérieuse.
Malheureusement, même ainsi, je dois dire que ce roman a été une déception.
Si j'ai plutôt été captivée par le premier tiers du roman, j'ai fini rapidement par m'ennuyer lorsque Grace et Ethan ont finalement quitté le bateau.
En fait, je pense que le principal problème du roman, c'est sa longueur. 500 pages sur une romance, c'est beaucoup trop. de fait, on n'échappe pas aux passages creux, aux situations répétitives, et l'ensemble est de moins en moins vraisemblable (sans parler de crédibilité) et verse dans le grand guignolesque. Sans rire, je crois que la vie de Grace a été plus souvent en danger que celle de son corsaire de mari qui combat les navires francais de Napoléon !
J'ai vraiment eu du mal à le finir et j'avoue avoir lu la fin un peu « en diagonale ». Je ne pense pas réitérer l'expérience avec cette autrice.
Bon sur ce point, je dois dire que ça ne gène pas la lecture. Comme souvent dans les romances, les tomes de sagas sont en fait des tomes compagnons qui développent des couples secondaires. Certes, on retrouve les personnages du premier tome dans celui ci, mais ils n'ont pas une grande importance.
L'héroine de ce roman, Grace Chastain, est une jeune fille de la bonne société londonnienne du début du 19e siècle. Mais la demoiselle n'est pas du genre à rester tranquillement à travailler ses gammes et sa broderie. Persuadée de son innocence, elle vient de faire évader de prison son père, le vicomte Forsythe, qui était accusé de trahison et condamné à mort.
Décidée à se mettre « au vert » chez une parente à Scarborough, Grace embarque à bord d'un paquebot. Helas, ce dernier est accosté par Ethan Sharpe, capitaine du Démon des Mers, qui prétend avoir reçu l'ordre de l'arrêter.
Tout d'abord, je veux préciser que j'adapte toujours mes attentes au type de livre concerné. Pour une romance historique, je serai bien moins exigeante que sur de la littérature qui se veut plus sérieuse.
Malheureusement, même ainsi, je dois dire que ce roman a été une déception.
Si j'ai plutôt été captivée par le premier tiers du roman, j'ai fini rapidement par m'ennuyer lorsque Grace et Ethan ont finalement quitté le bateau.
En fait, je pense que le principal problème du roman, c'est sa longueur. 500 pages sur une romance, c'est beaucoup trop. de fait, on n'échappe pas aux passages creux, aux situations répétitives, et l'ensemble est de moins en moins vraisemblable (sans parler de crédibilité) et verse dans le grand guignolesque. Sans rire, je crois que la vie de Grace a été plus souvent en danger que celle de son corsaire de mari qui combat les navires francais de Napoléon !
J'ai vraiment eu du mal à le finir et j'avoue avoir lu la fin un peu « en diagonale ». Je ne pense pas réitérer l'expérience avec cette autrice.
