Il était penché vers elle, étrangement près. Elle respira un léger parfum qu'elle ne lui connaissait pas. Malgré les mois écoulés depuis septembre, sa peau avait gardé un hâle cuivré, comme un écho au dégradé de ses cheveux et c'était un tableau de Vermeer qui se dressait, les yeux du jeune homme pour courber les siens, capables de tant de douceur lorsqu'ils ne l'attiraient pas au fond de gouffres insondables.
J'en ai vu qui ont mis leurs rêves de côté [...] et les rêves ont pris la poussière.
Aime-le comme il est, il n'y a rien d'autre à faire.
Vous n’êtes libre d’aimer ni dans un monde ni dans l’autre.
Aimer vraiment, c'est aimer aussi les faiblesses.
Quand on aime, on le sait.