Pour le style, c'est bizarre, autant dans le sens « étrange » que l'on connait, que dans le sens que
John Willie pourrait lui donner. Mais c'est le terme que donne
Hiroshi Aramata en postface de ce diptyque qui le défini peut être le mieux : « Grand Guignol », qui composé par « les bas-fonds de la société et cruauté ». On est un peu dans Justine de
Sade, dans le rock à la
Alice Cooper, dans
Freaks de
Tod Browning, dans l'esprit de
Junji Ito… entre surréalisme et ridicule, teinté par les pires sentiments humains. le fond de la cuvette du monde en fait… (lire la suite sur mon blog)
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http://geekette.fr/2011/01/v.. Commenter  J’apprécie         20