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Critique de jlvlivres
« le monde comme il débloque » de Jean Charles Massera (2022, Editions Verticales, 390 p.). Acheté et lu après quelques pages de critiques et d'encensoir dans « le Matricule des Anges » de juin 2023. Il faut bien soutenir les revues littéraires, il y en a si peu, et elles sont tellement fadasses…(C'était mon remède contre une poussée de bile), mais c'est aussi après avoir lu et relu Malcolm Lowry et László Krasznahorkai. Excusez du peu.
Donc retour au pensum, en trainant des pieds. Bon, ce sont les Editions Verticales, celles de Pierre Senges ou de Gabrielle Wittkop, il existe des circonstances atténuantes.
Autre problème, qui ne facilite pas les critiques. Ce sont de courts textes, monologues, dialogues et polylogues. Et même un épilogue, tant que ce n'est pas une question de nécrologue
Ouais, j'ai lu les trois premiers monologues. Peut-être qu'ils étaient classés par ordre d'intérêt. Non ? alors j'ai perdu mon temps.
Cela tombe bien, j'ai pu passer directement aux dialogues. Cela m'a permis de sauter une centaine de pages. En contrepartie, il fallait avaler les questions et les réponses, puisque c'étaient des dialogues. le problème, c'était que les dialogues étaient deux fois plus long. Normal, avec les questions et les réponses. Comment dit-on deux fois plus insipide ? deuxsipide ? Je crains bien que l'échelle des sipides ne soit pas linéaire. C'est toujours une donnée positive.
De même que prendre le texte au nième degré n'aide pas plus à relever un plat sous-épicé.
Donc retour au pensum, en trainant des pieds. Bon, ce sont les Editions Verticales, celles de Pierre Senges ou de Gabrielle Wittkop, il existe des circonstances atténuantes.
Autre problème, qui ne facilite pas les critiques. Ce sont de courts textes, monologues, dialogues et polylogues. Et même un épilogue, tant que ce n'est pas une question de nécrologue
Ouais, j'ai lu les trois premiers monologues. Peut-être qu'ils étaient classés par ordre d'intérêt. Non ? alors j'ai perdu mon temps.
Cela tombe bien, j'ai pu passer directement aux dialogues. Cela m'a permis de sauter une centaine de pages. En contrepartie, il fallait avaler les questions et les réponses, puisque c'étaient des dialogues. le problème, c'était que les dialogues étaient deux fois plus long. Normal, avec les questions et les réponses. Comment dit-on deux fois plus insipide ? deuxsipide ? Je crains bien que l'échelle des sipides ne soit pas linéaire. C'est toujours une donnée positive.
De même que prendre le texte au nième degré n'aide pas plus à relever un plat sous-épicé.
