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Critique de BVIALLET
La soeur Marie-Thérèse des Batignolles recueille deux évadés après en avoir dérouillé un pour lui apprendre la vie... Envoyée au chevet d'un mourant, elle le soulage de son cancer en deux temps trois mouvements... Une jeune soeur subit des attouchements de la part de l'ennemi plégique numéro un. Marie-Thérèse se lance à la recherche de l'obsédé pour profiter de ses faveurs... A Noël, elle offre à Jésus Cristo, le jardinier portugais, un joli godemiché pour pallier ses « faiblesses »... le pape lui rend une petite visite incognito à la congrégation. Elle lui présente sa toute dernière trouvaille : les « Heaven's nuns », un groupe de motardes en mission d'évangélisation sur Harley-Davidson...
Ce troisième album consacré à la religieuse la plus indigne de toute la chrétienté (pour mémoire, il faut rappeler qu'elle ne boit pas que de l'eau et ne fume pas que du tabac sans oublier qu'elle ne rechigne ni à la castagne ni à la turlute) est composé de huit histoires plus amusantes les unes que les autres. L'humour de Maester reste un peu particulier et sollicite une certaine complicité indulgente de la part de son lecteur. En effet, il est surtout basé sur des jeux de mots, des blagues faciles, des allusions plus ou moins fines et des calembours du même métal. le dessin est à la fois caricatural et élégant, ce qui représente une sorte de tour de force esthétique. L'auteur détourne et recycle des films connus comme Batman ou des séries télé comme les tortues Ninja et n'hésite pas à croquer un Nicholson en Joker, un Mickael Jackson en zombi ou même un Jean-Paul II en égrotant poivrot. Un album hilarant et iconoclaste, bien dans la ligne « Fluide Glacial ».
Lien : http://www.etpourquoidonc.fr/
Ce troisième album consacré à la religieuse la plus indigne de toute la chrétienté (pour mémoire, il faut rappeler qu'elle ne boit pas que de l'eau et ne fume pas que du tabac sans oublier qu'elle ne rechigne ni à la castagne ni à la turlute) est composé de huit histoires plus amusantes les unes que les autres. L'humour de Maester reste un peu particulier et sollicite une certaine complicité indulgente de la part de son lecteur. En effet, il est surtout basé sur des jeux de mots, des blagues faciles, des allusions plus ou moins fines et des calembours du même métal. le dessin est à la fois caricatural et élégant, ce qui représente une sorte de tour de force esthétique. L'auteur détourne et recycle des films connus comme Batman ou des séries télé comme les tortues Ninja et n'hésite pas à croquer un Nicholson en Joker, un Mickael Jackson en zombi ou même un Jean-Paul II en égrotant poivrot. Un album hilarant et iconoclaste, bien dans la ligne « Fluide Glacial ».
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