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Critique de davem
Rituel de chair me fait penser à ces films d'horreur de série B. Un bon gros navet qu'on apprécie avec un plaisir coupable.
L'histoire en deux mots. Charlie, critique gastronomique, a passé sa vie sur les routes des USA, essayant les restaurants et les hôtels. Un mode de vie désastreux pour sa vie de couple et pour sa relation avec son fils pour qui il est un véritable inconnu. Obligé de s'occuper de ce dernier, il parcours les routes avec son fils, espérant créer un semblant de relation avec lui. Jusqu'au jour où ils entendent parler de ce mystérieux restaurant "Le Reposoir" et où on ne peut manger que si on y a été invité.
Au cours de l'histoire, les personnages comme dans tout bon (ou mauvais, c'est selon) film d'horreur vont avoir des réactions totalement illogiques. L'intrigue est bancale à souhait et Masterton, en digne écrivain des années 80, parsème également son récit de scènes érotiques où les femmes ont systématiquement "les seins lourds". Bref, ce roman est le produit de son époque. Je l'avais lu (et aimé, je l'avoue) lorsque j'étais adolescent, maintenant cela me fait juste sourire.
C'est aussi loin d'être le meilleur de Masterton, si vous ne connaissez pas cet auteur, je vous conseillerais plutôt "Portrait du mal", "Manitou" ou encore "Démence".
L'histoire en deux mots. Charlie, critique gastronomique, a passé sa vie sur les routes des USA, essayant les restaurants et les hôtels. Un mode de vie désastreux pour sa vie de couple et pour sa relation avec son fils pour qui il est un véritable inconnu. Obligé de s'occuper de ce dernier, il parcours les routes avec son fils, espérant créer un semblant de relation avec lui. Jusqu'au jour où ils entendent parler de ce mystérieux restaurant "Le Reposoir" et où on ne peut manger que si on y a été invité.
Au cours de l'histoire, les personnages comme dans tout bon (ou mauvais, c'est selon) film d'horreur vont avoir des réactions totalement illogiques. L'intrigue est bancale à souhait et Masterton, en digne écrivain des années 80, parsème également son récit de scènes érotiques où les femmes ont systématiquement "les seins lourds". Bref, ce roman est le produit de son époque. Je l'avais lu (et aimé, je l'avoue) lorsque j'étais adolescent, maintenant cela me fait juste sourire.
C'est aussi loin d'être le meilleur de Masterton, si vous ne connaissez pas cet auteur, je vous conseillerais plutôt "Portrait du mal", "Manitou" ou encore "Démence".
