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Critique de HORUSFONCK
L'envers vaut l'endroit et vice-versa.
Me voici à relire en délire le début de la fin.
En 1995, Marc-antoine Mathieu embarquait son lecteur dans le quatrième
des aventures oniriques de Julius Corentin Acquefacques.
L'album, une première, se lit dans les deux sens avec le personnage et son alter-égo le reflet... Un trip qui n'a pas pris une ride, avec miroir et retournement (!) de l'enveloppe du héros
Vertige et malaise assuré, dans les montagnes russes des transports en commun par wagonnets et un diverticule sur un anneau de Möbius!.. Cet étrange et fascinant volume non à sur face unique.
On apprend aussi, au passage par le centre de tri, les effets dévastateur de la découverte du papier-carbone.
Un album sans queue ni tête, mais tellement jouissif pour qui veut bien y entrer!
Me voici à relire en délire le début de la fin.
En 1995, Marc-antoine Mathieu embarquait son lecteur dans le quatrième
des aventures oniriques de Julius Corentin Acquefacques.
L'album, une première, se lit dans les deux sens avec le personnage et son alter-égo le reflet... Un trip qui n'a pas pris une ride, avec miroir et retournement (!) de l'enveloppe du héros
Vertige et malaise assuré, dans les montagnes russes des transports en commun par wagonnets et un diverticule sur un anneau de Möbius!.. Cet étrange et fascinant volume non à sur face unique.
On apprend aussi, au passage par le centre de tri, les effets dévastateur de la découverte du papier-carbone.
Un album sans queue ni tête, mais tellement jouissif pour qui veut bien y entrer!
