Je ressentais quelque chose que je n'avais jamais ressenti, que je ne pourrais pas supporter de le perdre.
Pourtant, il y avait un mur entre nous. Quelque chose que je ne pouvais pas voir, mais que je pouvais sentir.
Qu'est-ce que j'aime faire ? J'adore lire, voyager, écouter de la musique. Mais Qu'est-ce que j'ai envie de faire ? Je ne sais pas. Parfois c'est comme si je ne me connaissais pas.
Ça m'est tombé dessus comme une porte vide, comme une question à laquelle je ne pouvais pas répondre. Une question qui n'avait pas de réponse.
Chaque éxpérience nous change, d'une manière ou d'une autre. Parfois pour le meilleur, parfois pour le pire.
Pour la première fois depuis des mois, je n'ai pas bloqué les souvenirs, ni les regrets. Je les ai laissés m'envahir, tous, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul. Et puis je les ai laissés partir.
Ça ne marche pas comme ça. Je ne crois pas qu'une personne puisse y arriver seule. Si nous devons partir, ce sera un travail collectif.
On fait de notre mieux, cest tout. Pareil pour toi. Tu n'as pas besoin d'être un sauveur.
Il donnait tellement de sa personne qu'il ne lui restait plus rien. Tout le monde avait ses limites.
- Tu ne le sais pas. La façon dont on voit nos cicatrices naît d'un choix. Elles sont un gage d'honneur. Les marques du chemin qui a fait de toi la personne que tu es devenue.