Je vais probablement entrer en conflit avec pas mal de lecteurs de l'oeuvre, contrairement auxquels je me suis profondément attachée à
Bel-Ami, qui passe effectivement pour un insupportable arriviste misogyne auprès de la majeure partie du public. Car, dés les premières lignes, qui nous confrontent d'emblée à Georges Duroy (
Bel-Ami, donc), j'ai ressenti un élan de sympathie irrépressible pour
lui. Et, malgré la suite des événements qui peuvent en effet apparaître comme discutables, cette inclinaison ne s'est pas démentie...
(La suite sur...)
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