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Critique de Allantvers
Une fois n'est pas coutume, je n'ai pas été très emballée par ce recueil dont je ne retiens surtout les deux premières :
La nouvelle titre, "Monsieur Parent", un brave homme faible et abusé par sa femme, est d'une tristesse sans nom.
La seconde, "La bête à maît' Belhomme, est une petite merveille de drôlerie campagnarde, genre auquel Maupassant excelle, dans laquelle on chevauche dans la campagne normande à bord d'une diligence remplie de personnages hauts en couleur et dont toute l'attention est accaparée par la bête qui sévit dans l'oreille de Belhomme.
A noter aussi tout de même quelques thèmes plus sombres qui révèlent les tourments de l'auteur, dans "Un fou" qui voit un magistrat prendre le goût de tuer ou dans "Le petit soldat" où revient le thème récurrent du suicide.
Les recueils De Maupassant sont comme des paquets de bonbons; il me faut faire attention à l'indigestion!
La nouvelle titre, "Monsieur Parent", un brave homme faible et abusé par sa femme, est d'une tristesse sans nom.
La seconde, "La bête à maît' Belhomme, est une petite merveille de drôlerie campagnarde, genre auquel Maupassant excelle, dans laquelle on chevauche dans la campagne normande à bord d'une diligence remplie de personnages hauts en couleur et dont toute l'attention est accaparée par la bête qui sévit dans l'oreille de Belhomme.
A noter aussi tout de même quelques thèmes plus sombres qui révèlent les tourments de l'auteur, dans "Un fou" qui voit un magistrat prendre le goût de tuer ou dans "Le petit soldat" où revient le thème récurrent du suicide.
Les recueils De Maupassant sont comme des paquets de bonbons; il me faut faire attention à l'indigestion!
