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Critique de VFanel
Après avoir tant rêvé sa vie derrière les barrières du couvant dans lequel Jeanne a demeuré pratiquement toute son existence, cette dernière va enfin pouvoir jouir de sa liberté à l'âge de ses 18 ans...
Au tout début du livre, tout est merveilleux, notre héroïne parcours le château, les paysages de Normandie (très bien décrits au demeurant ! J'avais vraiment envie d'aller à Etretat, sentir l'air de la mer). Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce qu'elle rencontre Julien, son futur mari, homme complètement exécrable et qui m'a donné des envies de meurtre (il n'y a pas que lui d'ailleurs. Paul, L Abbé.... ). A partir du mariage, tout part de travers et Jeanne, être si "pure", si naïve des choses de la vie va naviguer de désillusion en désillusion pendant presque tout le roman. Cette fille m'a vraiment peinée, je me suis reconnue sur certains points, car naïf, on l'est tous plus ou moins et c'est toujours déconcertant de se prendre en pleine face les petites "horreurs" de la vie. Elle les enchainera toutes, presque sans moufter, résignée à se laisser porter par la vie. le plus déconcertant là dedans, est la passivité de la jeune femme qui apparait faible, limite inexistante. Qui vit à travers ceux qui l'entoure. Son mari, puis ses parents et enfin son fils... Elle en deviendra pathétique... Mais quand même, le récit ne finit pas si tristement. Il nous laisse de l'espoir, une belle éclaircie pour notre héroïne. J'ai vraiment vibré tout le long du roman, tout au long d'une vie, celle de Jeanne. Je ne suis pas sûre qu'elle puisse toucher tout le monde, mais (c'est peut être mon petit côté fleur bleue que Maupassant réussi à faire ressortir), j'ai vraiment été transportée par cette histoire toute simple.
Au tout début du livre, tout est merveilleux, notre héroïne parcours le château, les paysages de Normandie (très bien décrits au demeurant ! J'avais vraiment envie d'aller à Etretat, sentir l'air de la mer). Tout allait pour le mieux, jusqu'à ce qu'elle rencontre Julien, son futur mari, homme complètement exécrable et qui m'a donné des envies de meurtre (il n'y a pas que lui d'ailleurs. Paul, L Abbé.... ). A partir du mariage, tout part de travers et Jeanne, être si "pure", si naïve des choses de la vie va naviguer de désillusion en désillusion pendant presque tout le roman. Cette fille m'a vraiment peinée, je me suis reconnue sur certains points, car naïf, on l'est tous plus ou moins et c'est toujours déconcertant de se prendre en pleine face les petites "horreurs" de la vie. Elle les enchainera toutes, presque sans moufter, résignée à se laisser porter par la vie. le plus déconcertant là dedans, est la passivité de la jeune femme qui apparait faible, limite inexistante. Qui vit à travers ceux qui l'entoure. Son mari, puis ses parents et enfin son fils... Elle en deviendra pathétique... Mais quand même, le récit ne finit pas si tristement. Il nous laisse de l'espoir, une belle éclaircie pour notre héroïne. J'ai vraiment vibré tout le long du roman, tout au long d'une vie, celle de Jeanne. Je ne suis pas sûre qu'elle puisse toucher tout le monde, mais (c'est peut être mon petit côté fleur bleue que Maupassant réussi à faire ressortir), j'ai vraiment été transportée par cette histoire toute simple.
