Ils sont deux, l'homme et l'enfant. Ils marchent vers le Sud, vers la mer. Au milieu d'un monde post-apocalyptique et des hordes cannibales. Charognards opportunistes, survivants dans un monde déjà mort.
Lu juste après la fidèle adaptation de
Larcenet, le roman n'en est pas moins impressionnant.
Une père qui veille sur son fils. Ils avancent. Pourquoi ?
Quelle est cette pulsion de vie qui ne lâche jamais et qui m'a rappelé
Quand on eut mangé le dernier chien de
Justine Niogret ?
En bien plus sombre, sous une pluie de cendres
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