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Critique de Gilwen
Un tome qui me conforte dans l'idée que cette série et moi, on va bien s'entendre. Je trouve qu'elle se démarque vraiment par rapport à d'autres du même acabit, notamment du fait de son fil conducteur historique (même super romancé) que l'on suit de tome en tome (La lutte de Robert de Bruce pour le trône d'Ecosse). Alors oui, il y a du kilt, du mâle musclé à l'accent écossais, de l'héroïne sulfureuse et dans ce T3 le pitch classique d'un espion qui s'éprend de la fille de son ennemi (mouais ok c'est pas le plus original de la série). Rien de nouveau sous le soleil me direz vous. Et pourtant c'est efficace, diablement même. Ça joue au chat et à la souris, ça s'envoie des piques, fait doucement monter la tension et finit par nous embarquer dans un grand huit émotionnel. Et comme toujours, on ajoute à cela ce qu'il faut en combats, trahisons, manipulations politiques et folles chevauchées et on obtient un ensemble des plus divertissants.
