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Critique de Marcellina
Je passe le temps et je m'instruis, faut dire que l'histoire de l'Écosse n'est pas vraiment au programme en Belgique :-p
Se battre pour l'indépendance de son pays, annexé par l'Angleterre, n'est vraiment pas une mince affaire pour Robert Bruce au début du XIVème siècle. Pour l'aider, il y a son armée bien sûr mais aussi les Highlanders de sa garde personnelle, des hommes de l'ombre, super entraînés, courageux, héroïques, braves et si humains pourtant.
Ainsi, quand ils tombent amoureux, cela paraît bien plus douloureux que d'encaisser coups et blessures et c'est assez drôle ! Si on ajoute à cela un fond historique super bien documenté, on tombe sous le charme de ces géants chevaleresques qui se comportent parfois comme des brigands tout en restant des plus courtois et en respectant le code de l'honneur en vigueur à l'époque. Ce ne sont pas tous des barbares quoiqu'en disent les Anglais qui sont loin d'être des anges de vertu.
Toujours le même bémol cependant, trop de ‘rouge' nuit au rythme du récit et l'allonge inutilement de nombreuses répétitions qui n'apportent pas grand-chose au romanesque de l'ensemble.
Se battre pour l'indépendance de son pays, annexé par l'Angleterre, n'est vraiment pas une mince affaire pour Robert Bruce au début du XIVème siècle. Pour l'aider, il y a son armée bien sûr mais aussi les Highlanders de sa garde personnelle, des hommes de l'ombre, super entraînés, courageux, héroïques, braves et si humains pourtant.
Ainsi, quand ils tombent amoureux, cela paraît bien plus douloureux que d'encaisser coups et blessures et c'est assez drôle ! Si on ajoute à cela un fond historique super bien documenté, on tombe sous le charme de ces géants chevaleresques qui se comportent parfois comme des brigands tout en restant des plus courtois et en respectant le code de l'honneur en vigueur à l'époque. Ce ne sont pas tous des barbares quoiqu'en disent les Anglais qui sont loin d'être des anges de vertu.
Toujours le même bémol cependant, trop de ‘rouge' nuit au rythme du récit et l'allonge inutilement de nombreuses répétitions qui n'apportent pas grand-chose au romanesque de l'ensemble.
