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Critique de Lunalithe
Brian McClellan, best-seller aux usa, débarque en France. Un nouveau nom dans nos rayonnages de dark fantasy, et, il faut l'avouer, un système de magie original. Toutefois, je dois confesser n'avoir pas réussi à entrer dans cette histoire.
"L'Age des Rois est mort... et c'est moi qui l'ai tué".
On entre dans le roman en plein coup d'état, et le ton est immédiatement donné : c'est sombre, impitoyable, et on n'est pas bien sûr de qui sont les gentils ou les méchants... Ou plutôt, à quel personnage on pourra s'attacher, tant ce sont tous plus ou moins des ordures finies. Personnellement, je n'ai éprouvé de sympathie pour personne, et j'ai suivi cette histoire avec difficulté : intrigues politiques, longueurs, enjeux flous... J'ai dû m'accrocher pour finir le livre. En revanche, les cent dernières pages ont été les plus faciles à lire : peut-être y-a-t-il plus d'action, ou est-ce parce qu'on commence seulement à mieux cerner les forces en jeu. Difficile à dire, mais j'ai seulement commencé à prendre du plaisir à ma lecture à ce moment là - un peu tard, donc, sur un roman de plus de 600 pages !
Comme je le disais, en revanche le système de magie m'a bien plu. le nom parle de lui-même, des "Poudremage" qui utilisent des super guns et ont du pouvoir sur la poudre (ou elle en a sur eux, quand, comme pour certains personnages, ils sont clairement addict). A ces mages s'ajoutent d'autres "castes" avec des pouvoirs plus ou moins grands, qui permettent de contrer et de complémenter les pouvoirs des uns et des autres : c'est complexe, un peu confus également il faut bien l'avouer, et ça rappelle beaucoup le JDR - je n'étais pas étonnée d'apprendre que l'auteur était rôliste ! Poudremages, Privilégiés, Doués, mais aussi dieux... On aurait bien eu besoin d'une fiche récapitulative pour s'en sortir ! Toutefois, ce mélange de compétences donne des scènes d'actions aux dimensions tout simplement épiques !
Néanmoins, ça n'a pas suffit à m'intéresser assez pour me donner envie de lire la suite. Il faut croire que ce n'est pas trop mon style finalement !
"L'Age des Rois est mort... et c'est moi qui l'ai tué".
On entre dans le roman en plein coup d'état, et le ton est immédiatement donné : c'est sombre, impitoyable, et on n'est pas bien sûr de qui sont les gentils ou les méchants... Ou plutôt, à quel personnage on pourra s'attacher, tant ce sont tous plus ou moins des ordures finies. Personnellement, je n'ai éprouvé de sympathie pour personne, et j'ai suivi cette histoire avec difficulté : intrigues politiques, longueurs, enjeux flous... J'ai dû m'accrocher pour finir le livre. En revanche, les cent dernières pages ont été les plus faciles à lire : peut-être y-a-t-il plus d'action, ou est-ce parce qu'on commence seulement à mieux cerner les forces en jeu. Difficile à dire, mais j'ai seulement commencé à prendre du plaisir à ma lecture à ce moment là - un peu tard, donc, sur un roman de plus de 600 pages !
Comme je le disais, en revanche le système de magie m'a bien plu. le nom parle de lui-même, des "Poudremage" qui utilisent des super guns et ont du pouvoir sur la poudre (ou elle en a sur eux, quand, comme pour certains personnages, ils sont clairement addict). A ces mages s'ajoutent d'autres "castes" avec des pouvoirs plus ou moins grands, qui permettent de contrer et de complémenter les pouvoirs des uns et des autres : c'est complexe, un peu confus également il faut bien l'avouer, et ça rappelle beaucoup le JDR - je n'étais pas étonnée d'apprendre que l'auteur était rôliste ! Poudremages, Privilégiés, Doués, mais aussi dieux... On aurait bien eu besoin d'une fiche récapitulative pour s'en sortir ! Toutefois, ce mélange de compétences donne des scènes d'actions aux dimensions tout simplement épiques !
Néanmoins, ça n'a pas suffit à m'intéresser assez pour me donner envie de lire la suite. Il faut croire que ce n'est pas trop mon style finalement !
