Avec toi, les rêves fleurissent sous la neige

— Tu sais quand j'ai su que j'étais amoureux de toi ? dit-il. Quand je t'ai retrouvée dans le hall pour aller dîner. Tu traversais le hall, les jambes arquées sur tes talons, tel un Gumby dans Monthy Python. C'était comme si un orchestre s'était mis à jouer et les étoiles à briller.
— Vraiment ?
— Soit ça, soit le moment où tu as hurlé sur les quais de Keith que tu n'avais pas vu ma zone pubienne.

Je souris, et m'émerveille du virage qu'a pris mon sentiment sur Finlay Hart. Je mettrais ma vie entre ses mains à présent. Ce qui est tout aussi bien.

— Je sais que je fais une bien piètre protectrice et que je porte une jupe avec des écureuils qui dansent dessus... mais... laisse-moi te sauver ! dis-je entre rires et larmes.
— Ah, mais, vois-tu, Evelyn Harris... tu l'as déjà fait, répond Fin en posant sa main sur ma joue.

Plus il s'indigne, plus cette scène  « Cachez cette quéquette que je ne saurais voir » est drôle.

C'est comme si toute ma vie n'avait été qu'un chemin pour revenir jusqu'à toi.

C'est quand même marrant de se servir des réseaux sociaux pour épier les autres alors que tout le monde y ment plus ou moins.

Johnny Deep a payé pour que les cendres de son ami soient mises dans une fusée. Ça lui a coûté trois millions de dollars, à ce gros bêta.

C'est comme si toute ma vie n'avait été qu'un chemin pour revenir jusqu'à toi.

Si j'entre chez toi, je pense que tu le sais, je n'aurais plus jamais envie de partir.

La beauté n'est pas un agencement de traits, même pour des traits aussi parfaits que ceux de Finlay Hart. C'est un sentiment. C'est ce qu'on ressent dans la fraction de seconde où l'on se rend compte tout à coup qu'on est en train de tomber amoureux de quelqu'un.