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Critique de Big-Bad-Wolf
L'auteure avait annoncé un second tome qui serait plutôt sombre : elle n'a pas menti !
Dans ce second opus de la saga du Dernier Souffle, Wyl et ses amis vont de déconvenue en catastrophe. Trahisons, meurtres, violences diverses et autres coups durs ne leur sont pas épargnés, à tel point qu'il m'est arrivé de pester à voix haute contre le sort et tous ces revers au cours de ma lecture... Autant dire qu'il a été difficile de refermer le roman quand il était grand temps de le faire. J'ai dévoré les pages sans jamais apaiser ma faim... Un plaisir teinté d'amertume !
Parce que si Celimus était déjà plus que haïssable dans le premier tome, ce n'est rien en comparaison de ce qu'il a pu faire dans celui-ci. Mon voeu le plus cher est de le voir mourir dans d'atroces souffrances en sachant qu'il paie pour ses nombreux crimes... Mais en dehors de ce point, nous avons également à faire face à l'évolution de la situation dans d'autres royaumes (Briavel bien sûr, mais aussi les Montagnes) et voyons les pièces se déplacer sur l'échiquier tout en ayant peur de ce que la fin de partie pourra donner...
Ce qui est un vrai plaisir dans ce tome-ci, c'est de voir le volet de la magie développé davantage, et surtout partiellement expliqué. Si un voile de mystère perdure autour de certains personnages (Wyl et Fynch au premier plan), nous avons également des réponses à des questions que l'on se pose depuis le tome précédent. Ce n'est d'ailleurs pas toujours rassurant, mais une chose est sûre : j'ai vraiment envie d'avoir le fin mot de l'histoire et de me jeter sur la suite !
J'avoue que certains personnages me sont un peu sortis par les yeux, notamment au niveau des nobles de Briavel qui ne veulent qu'un mariage de leur reine à Celimus malgré les preuves accablantes du statut de tyran et de la folie de celui-ci (preuves et témoignages qui se multiplient durant l'intrigue), pour éviter de prochaines guerres. Même si leur espoir est compréhensible, leur aveuglement quant à la situation a été pour le moins usant, même si j'imagine largement que c'était voulu par l'auteure.
En conclusion, je reste sur mes positions en affirmant qu'il s'agit d'une belle découverte et d'une lecture agréable et palpitante. Je n'hésite pas à recommander !
Dans ce second opus de la saga du Dernier Souffle, Wyl et ses amis vont de déconvenue en catastrophe. Trahisons, meurtres, violences diverses et autres coups durs ne leur sont pas épargnés, à tel point qu'il m'est arrivé de pester à voix haute contre le sort et tous ces revers au cours de ma lecture... Autant dire qu'il a été difficile de refermer le roman quand il était grand temps de le faire. J'ai dévoré les pages sans jamais apaiser ma faim... Un plaisir teinté d'amertume !
Parce que si Celimus était déjà plus que haïssable dans le premier tome, ce n'est rien en comparaison de ce qu'il a pu faire dans celui-ci. Mon voeu le plus cher est de le voir mourir dans d'atroces souffrances en sachant qu'il paie pour ses nombreux crimes... Mais en dehors de ce point, nous avons également à faire face à l'évolution de la situation dans d'autres royaumes (Briavel bien sûr, mais aussi les Montagnes) et voyons les pièces se déplacer sur l'échiquier tout en ayant peur de ce que la fin de partie pourra donner...
Ce qui est un vrai plaisir dans ce tome-ci, c'est de voir le volet de la magie développé davantage, et surtout partiellement expliqué. Si un voile de mystère perdure autour de certains personnages (Wyl et Fynch au premier plan), nous avons également des réponses à des questions que l'on se pose depuis le tome précédent. Ce n'est d'ailleurs pas toujours rassurant, mais une chose est sûre : j'ai vraiment envie d'avoir le fin mot de l'histoire et de me jeter sur la suite !
J'avoue que certains personnages me sont un peu sortis par les yeux, notamment au niveau des nobles de Briavel qui ne veulent qu'un mariage de leur reine à Celimus malgré les preuves accablantes du statut de tyran et de la folie de celui-ci (preuves et témoignages qui se multiplient durant l'intrigue), pour éviter de prochaines guerres. Même si leur espoir est compréhensible, leur aveuglement quant à la situation a été pour le moins usant, même si j'imagine largement que c'était voulu par l'auteure.
En conclusion, je reste sur mes positions en affirmant qu'il s'agit d'une belle découverte et d'une lecture agréable et palpitante. Je n'hésite pas à recommander !
