Betty Angel, tome 1 : La mort me va si bien

Histoire très sympathique et très drôle. On suit Betty, 20 ans qui vit avec sa grand-mère, est un peu enrobée et n'a pas une vie extraordinaire. Elle meurt dans ses toilettes de manière pathétique puis se retrouve après sa mort en enfer. Elle doit rejoindre le paradis pour devenir apprentie ange
L'histoire se lit très facilement et rapidement, c'est plutôt bien écrit. J'ai surtout apprécié l'humour, le personnage de Betty est très attachant avec ses maladresses.

Pendant les premières pages, je me suis demandée dans quoi j'étais tombée. L'humour est très présent et c'est clairement ce qui fait le charme du livre et ce pourquoi on s'immisce si facilement dans l'aventure de Betty.

C'est plutôt sympathique à lire, sans prise de tête.
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[Critique sur les quatre volumes de la série]

Comme je préfère la franchise, ami-lecteur, je dois avouer que cette lecture n'aurait pas eu lieu sans l'offre de l'entreprise e-Dantes qui s'est associé à plusieurs éditeurs lors du confinement pour offrir gratuitement des livres numériques. le premier tome de la saga de Louisa Méonis en faisait parti...

Quand je me suis plongée dans l'aventure de Betty, j'avais une crainte : que ce soit une mauvaise jumelle de Betsy, l'héroïne de MaryJanice Davidson. Après le premier tome, j'ai compris que ce n'était pas le cas. Effectivement, Betty est aux antipodes des jeunes premières classiques confrontées au monde fantastique de la Bit-litt. Elle est ronde, maladroite, gentille et un peu beaucoup bonne poire. du moins c'est le cas au début de la saga. Bien entendu il y a tous les ingrédients habituels : le héros ténébreux et sexy, du mystères, du méchant bien méchant... Et c'est plus que bien fait, puisque dès la fin de ma lecture, je me suis ruée sur la suite. Tant et si bien que les quatre volumes ont duré un week-end. Bien que les romans de madame Méonis soient assez courts, cette boulimie veut tout dire...

Pourquoi cette frénésie ? Parce que l'auteure est parvenue à me surprendre, tout en respectant les codes du genre. Alors qu'au fil des tomes, Betty se révèle bien différente de ce qu'on supposait, on rencontre une horde de personnages secondaires plus attachants ou originaux les uns que les autres. On rigole mais pas seulement... La mythologie construite dans Betty Angel n'est pas seulement un décor en carton pâte pour permettre à notre petit coeur de palpiter. Il y a une vraie richesse et une vraie construction de l'univers montré. Jusqu'à la fin du quatrième et dernier tome de la saga, je me suis laissé prendre par le récit et ce n'est pas rien ! Je dois aussi te confier ami-lecteur, que j'apprécie que les sagas ne s'éternisent pas trop, je me lasse si je sens que l'auteur part dans tous les sens, comme pour Anita Black...

Quand j'aborde les genres de divertissement, comme la romance ou la bit-litt, je ne cherche pas quelque chose de révolutionnaire mais un récit bien écrit, sympathique et m'offrant des personnages attachants. Louisa Méonis est parvenue à accomplir tout cela dans ses quatre romans... Et parce que ce n'est pas aussi fréquent que je le voudrais, je pense très vite aller voir de plus près ce qu'elle a écrit d'autre.
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Récit aux premiers chapitres oubliables qui, finalement, se trouve très bien. le début est effectivement brouillon et les événements de la mort ne sont pas bien expliqués. Puis le test se passe (on se demande comment les autres passent). Ce dernier n'a rien de grandiose, il permet de voir la différence de comportement entre Betty et les autres ainsi que d'apercevoir les talents de Betty (à ne pas oublier, je pense). Malgré tout, les plaintes incessantes de la personnage sont agaçantes ainsi que ses allusions à son poids ou ses formes. Grossophobie ou simple critique ? Au final il n'y a presque que Betty qui se "moque" d'elle, les regards que les autres lui portent ne sont pas dus à son poids mais à ses expressions trop humaines qui la différencie des anges.

L'humour est très présent, ce qui est signifié dès le début et dans le résumé, par le style de la narration. La Mort est un personnage intéressant, il est handicapé par son absence d'émotions et d'humour, et est perturbé par son don qui le "lâche". C'est via ce personnage que se forme le côté mystérieux du roman.

Globalement le récit est facile à lire et à apprécier (de l'humour au romantisme en passant par un mystère prenant). Il est court et dynamique tout en permettant d'égayer la journée du lecteur (pour ma part, je l'ai lu en période difficile et ça fait du bien tandis que K. DICK ne passait plus).

Qu'est-ce que c'est drôle ! Non, sérieusement, j'ai éclaté de rire toute seule devant mon livre et ça, ça fait du bien. L'histoire est plutôt bien aussi, c'est le genre de romance que j'apprécie où tout ne tourne pas qu'autour de la romance justement, il y a une vraie intrigue originale sur le monde des morts. J'espère quand même que l'univers sera encore plus approfondi dans les prochains tomes.
Bien sûr, tout n'est pas parfait. Déjà ce tome me paraît un peu court et si les suivants sont pareils il n'aurait peut-être pas fallu en faire quatre mais trois. Ensuite, bien qu'il soit récurrent pour les héroïnes de romance d'être complexées par leur physique, là le trait est vraiment accentué et à toutes les pages Betty se rabaisse vis-à-vis de son poids. Je comprends l'idée de souligner qu'un complexe puisse pourrir la vie au quotidien et l'auteure parle très bien du sujet, surtout en se plaçant du point de vue de Betty et en nous donnant accès à ses pensés, mais parfois je trouve que le sujet pourrait être évité, cela enlèverait la sensation de tourner en rond et rendrait encore plus efficace les autres moments où elle aborde le surpoids.
Cette remarque n'enlève toutefois rien à la qualité d'écriture de l'auteure ni au plaisir que procure la lecture de son livre.

Ce roman était une bonne lecture et une agréable découverte. Néanmoins c'est un premier tome vraiment introductif qui apporte bien plus de questions que de réponses. J'ai été plutôt intrigué par le personnage de Betty et j'aimerais voir comment elle va évoluer dans les prochains romans pour me faire une véritable idée à son propos. le personnage de la Mort était par contre vraiment trop mystérieux pour que je vous en parle plus.
J'ai eu un peu de mal à comprendre l'univers et me suis senti un peu perdu, comme Betty finalement.
Je pense que je lirai la suite car j'aimerais comprendre un peu mieux l'univers et les personnages.

En bref, Betty Angel cache bien des atouts. Son héroïne détonne. Maladroite, hilarante, attachante, loufoque dans son genre, une innocente qui n'a aucune idée de ses origines. Son maître sexy en diable réserve des surprises. le Paradis et l'Enfer se montrent sous une facette étonnante. Les anges guerriers, Métatrons et les autres donnent envie de plonger plus longuement à leurs côtés.
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Un premier tome génial, captivant et drôle, avec en prime une super révélation à la fin et qui donne furieusement envie de lire la suite.
Par contre j'ai eu de mal par moment avec le concept "tu as des formes donc tu es moches"....c'est répétitif et cela fini par être agaçant.... Ce n'est pas parce-que une personne à des formes qu'elle est moche, je trouve cela assez vexant...

Louisa Méonis c'est un coup de foudre livresque. Je suis tombée sur la saga Lola et son sexy fossettes et j'ai été conquise par son humour burlesque. Je me souviens encore des mes fous rire. Alors oui, j'en attendais beaucoup du dernier bébé de l'auteure.
Une idée originale, Betty, l'héroïne meurt dans un accident domestique comique et se retrouve apprenti ange. Louisa Méonis garde sa marque de fabrique, une héroïne boulotte qui ne s'assume pas trop, n'a pas confiance en elle et provoque catastrophes sur catastrophes sur son passage. Rien qu'avec sa mort comique, Betty n'est une fille comme les autres.
J'ai apprécié que l'auteure n'ait pas fait une réplique de Lola malgré qu'elle partage des traits physiques indéniables. Betty est une fille attendrissante qui partagera ses complexes avec la lectrice ses doutes mais surtout son manque de confiance. Elle touchera son lectorat avec son besoin d'être aimée et que quelqu'un la regarde enfin. Cet aspect là du roman m'a beaucoup touché ce qui rend des passages très émouvants et non déclenchant des sourires.
Face à Betty, la mort en personne, un homme incroyablement sexy (mais il ne le sait pas), un homme qui ne comprend rien au sarcasme ni à l'humour ( il a beaucoup à apprendre), un homme qui essaye de comprendre les non dits de Betty (c'est mal barré). Pour la partie joutes verbales, je reste sur ma faim. La mort reste un mystère et on attend avec impatience de voir l'étendu de son personnage.
Louisa Méonis arrive à faire intervenir son pseudo "adonis" qui nous permet de cerner ne serait ce qu'un peu Azrael.
Dans son premier tome, je dirais que Louisa Méonis plante simplement son décor du Paradis avec certains personnages clés et missions. C'était une lecture sympa mais il me manquait de l'humour, ceux que j'aime chez l'auteure. Je m'attendais à rire aux éclats mais je suis restée sur place à plusieurs reprises. Par contre, malgré cette petite déception, je trouve que ce premier opus est une bonne mise en bouche et réserve des agréables surprises. Une trame intéressante qui n'est pas centrée que sur la romance. Des personnages complexes malgré leur apparence loufoque. Un cadre intéressant qui permet à l'imagination débordante de l'auteure de se faire plaisir.
Affaire à suivre pour la suite des aventures de Betty et la mort….

Je termine tout juste cette histoire au moment où j'écris cette chronique et tout ce que je suis capable de vous dire c'est que j'ai passé un excellent moment.
J'ai déjà lu des romans de Louisa Meonis, j'aime son humour, j'adore les références qu'elle utilise. Sa plume est simple, piquante et vraiment efficace.

Avec ce premier volume, je m'attendais surtout à une sorte de présentation où l'auteure établit les règles, oriente lecteur et surtout j'espérais tomber sur une petite enquêtrice en herbe. Mais vous savez quoi, j'avais tout faux.
Louisa situe seulement un versant de l'histoire, on suit tout simplement le sort de Betty et on avance à tâtons dans l'intrigue. On se pose pas mal de questions, moi en tout cas, sur Betty et son rôle au Paradis, sur Azraël et ce qu'il cherche exactement. Mais ces petits mystères, ses demies réponses intriguent littéralement le lecteur et on tourne les pages (virtuellement j'entends) avec une facilité déconcertante.

Je me suis prise d'affection pour la petite Betty, son manque de confiance est touchant même si son complexe avec son poids peut être agaçant. Mais j'ai accepté que ça l'affectait énormément et j'ai souffert avec elle pendant certaines situations. Par contre, j'ai tout particulièrement adoré notre Ange de la Mort, Azraël. Il est fascinant, j'avais envie de comprendre (comme lui d'ailleurs) pourquoi il est tant affecté par la jeune femme, pourquoi elle réveille en lui toutes ces choses, lui qui ne ressent plus aucunes émotions depuis tant d'années. Bref c'est pour moi le plus intéressant en dehors du contexte de l'histoire.

Honnêtement, je me suis beaucoup amusée à découvrir ce premier volume et je suis même déçue de savoir qu'il faut attendre décembre pour avoir la suite. Je veux savoir ce qu'il va advenir de Betty, comment La Mort va gérer les changements qui s'opèrent en lui ou encore ce qu'il se passe avec ces disparitions. C'est assez excitant de changer un peu de décor, surtout pour un récit qu'on ne pensait pas apprécier autant. J'ai hâte d'avoir le tome 2 en main.
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