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Critique de catcap
Sous une plume journalistique le premier roman de Carole Merlo nous offre une plongée dans les années 1950 notamment sur les événements à Casablanca …Là-bas à Casablanca l'air est doux, la petite communauté des français établis s'amuse et danse, pourtant la menace d'un embrasement plane… On y retrouve les descriptions et la façon de vivre de toute une époque.
Via la vie de Yolanda l'auteur nous relate les faits historiques fort instructifs sur cette période bien particulière du Maroc et on se surprend à s'immerger dans cette ambiance d'autant plus étonnante de légèreté que le feu couve. Souvenirs d'une époque révolue où la vie des femmes n'était pas simple… On peut d'ailleurs établir un parallèle entre le désir d'indépendance de l'héroïne vis à vis du patriarcat imposé et celui d'une population vis à vis de la mainmise française …
En somme un roman où la fiction se mêle à l'Histoire ce qui est toujours intéressant pour le lecteur
Via la vie de Yolanda l'auteur nous relate les faits historiques fort instructifs sur cette période bien particulière du Maroc et on se surprend à s'immerger dans cette ambiance d'autant plus étonnante de légèreté que le feu couve. Souvenirs d'une époque révolue où la vie des femmes n'était pas simple… On peut d'ailleurs établir un parallèle entre le désir d'indépendance de l'héroïne vis à vis du patriarcat imposé et celui d'une population vis à vis de la mainmise française …
En somme un roman où la fiction se mêle à l'Histoire ce qui est toujours intéressant pour le lecteur
