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Critique de Bequelune
Et bien je dois dire que ce livre est une bonne surprise. Jusqu'à là je ne connaissais Stephenie Meyer que comme l'auteure mormon qui, à travers une histoire de vampires et de loups-garous, est en fait la plus efficace promotteuse du « pas avant le mariage », du « le sexe c'est bien juste pour faire des bébés ». Une écrivaine ultra catho donc, d'autant plus détestable qu'elle avait été à l'origine de ces trois films Twiligt où les acteurs font un concours à qui joue le plus mal.
Mais voilà. Farfouillant la bibliothèque d'une amie dont je partage habituellement les gouts littéraires, je suis tombé sur Les Âmes vagabondes, ancien roman de Meyer dont je n'avais jamais entendu parler – par manque d'intérêt pour le genre de littérature "roman d'amuuuuur", évidemment. Devenu curieux, je l'ai donc lu. Et, j'ai un peu honte de l'avouer, je crois que j'ai bien aimé.
OK c'est très niais, l'héroïne est exaspérante à force de ne vouloir que le bien et de se poser toujours cent mille questions de morale, mais je dois dire un que c'est un roman fichument bien écrit. Enfin, niveau rythme en tout cas : c'est un peu pauvre dans l'univers élaboré par rapport à beaucoup d'autres livres de SF mais Meyer maitrise parfaitement les codes du suspense. Elle est plutôt douée pour laisser le lecteur sur sa fin à chaque fin de chapitre et moi, pauvre benêt, j'ai marché avec plaisir dans tous les pièges qu'elle tendait, n'arrivant pas décidément pas à lâcher ce livre. J'ai l'ai lu très vite, avec gourmandise.
Ce sera pas mon bouquin de l'année 2013, c'est loin d'être exceptionnel niveau science fiction mais ça reste un livre très agréable à livre. L'auteure a une écriture dynamique, équilibrée, les différents épisodes s'enchainent sans aucun accroc et la plupart des personnages se révèlent être plutôt intéressants. Finalement il n'y a que « l'âme » héroïne qui est un peu chiante à force de pleurer. Mais c'est dans sa nature d'âme, alors je veux bien l'excuser.
Un conseil donc pour finir, si vous voulez découvrir le phénomène Meyer, préférez largement ces Âmes vagabondes à sa saga moralisante Twilight !
Mais voilà. Farfouillant la bibliothèque d'une amie dont je partage habituellement les gouts littéraires, je suis tombé sur Les Âmes vagabondes, ancien roman de Meyer dont je n'avais jamais entendu parler – par manque d'intérêt pour le genre de littérature "roman d'amuuuuur", évidemment. Devenu curieux, je l'ai donc lu. Et, j'ai un peu honte de l'avouer, je crois que j'ai bien aimé.
OK c'est très niais, l'héroïne est exaspérante à force de ne vouloir que le bien et de se poser toujours cent mille questions de morale, mais je dois dire un que c'est un roman fichument bien écrit. Enfin, niveau rythme en tout cas : c'est un peu pauvre dans l'univers élaboré par rapport à beaucoup d'autres livres de SF mais Meyer maitrise parfaitement les codes du suspense. Elle est plutôt douée pour laisser le lecteur sur sa fin à chaque fin de chapitre et moi, pauvre benêt, j'ai marché avec plaisir dans tous les pièges qu'elle tendait, n'arrivant pas décidément pas à lâcher ce livre. J'ai l'ai lu très vite, avec gourmandise.
Ce sera pas mon bouquin de l'année 2013, c'est loin d'être exceptionnel niveau science fiction mais ça reste un livre très agréable à livre. L'auteure a une écriture dynamique, équilibrée, les différents épisodes s'enchainent sans aucun accroc et la plupart des personnages se révèlent être plutôt intéressants. Finalement il n'y a que « l'âme » héroïne qui est un peu chiante à force de pleurer. Mais c'est dans sa nature d'âme, alors je veux bien l'excuser.
Un conseil donc pour finir, si vous voulez découvrir le phénomène Meyer, préférez largement ces Âmes vagabondes à sa saga moralisante Twilight !
