Ses chroniques à France Inter m'ont fait connaitre
Philippe Meyer.
J'apprécie son art de manier les paradoxes dans une langue soutenue.
Ses chroniques sur Paris sont dans le même ton. Avec l'écrit, le son est perdu, ( mais j'imagine la voix) , mais il est possible de mieux apprécier la richesse du vocabulaire même s'il faut prendre sa respiration pour lire une phrase de bout en bout. Les paradoxes qu'il met en valeur dans ces chroniques, sont étayés par des situations qu'il a vécu , et que néo-Parisien que je suis, vit aussi.
Philippe Meyer a eu assez de recul pour juxtaposer ces paradoxes avec humour et sans méchanceté.
Commenter  J’apprécie         450