Citations sur La revanche d'un solitaire - La véritable histoire du f.. (8)
Même à Harvard, la plus prestigieuse université du monde, il n’était en réalité que question de cul. To fuck or not to fuck. Il y avait ceux qui s’envoyaient en l’air et les autres.
Il était si occupé à regarder Mark qui regardait Bill Gates qu'il faillit manquer les gloussements qui résonnaient discrètement derrière eux. Il ne se serait d'ailleurs peut-être même pas retourné si les chuchotement qui avaient suivi ces rires n'avaient pas été typiquement féminins.
C’était un outil inouï pour lubrifier les rapports sociaux. Tout allait beaucoup plus vite. Sur Facebook, vous connaissiez déjà les gens que vous invitiez à être vos amis en ligne, même si vous ne leur aviez parlé qu’une fois.
Le type à la droite d’Eduardo, un grassouillet d’un mètre soixante-cinq, était membre de l’équipe d’échecs de Harvard et parlait couramment six langues. Rien de vraiment utile en matière de drague.
L'histoire de Facebook, de la création d'une base de données répertoriant les filles de l'université Harvard par deux étudiants, Eduardo Saverin et Mark Zuckerberg, au succès du site Web d'aujourd'hui qui réunit 200 millions de personnes.
Pour un observateur extérieur la relation qu’il entretenait avec son ordinateur semblait bien plus harmonieuse que toutes celles qu’il pouvait créer avec le monde extérieur. Mark ne semblait jamais aussi heureux que devant son écran.
Avec Facebook, il pouvait continuer à retarder la vraie vie, tout comme Mark.
Eduardo se sentit tout requinqué par cette pensée. Bientôt, il retrouverait Mark - et Mark lui expliquerait tout.
Au final, c'était de la physique pure. Deux forces égales, mais opposées. Tout corps en mouvement possède une énergie cinétique qui incite le mouvement à se prolonger, aussi inhabituel et indésirable soit-il, et même si ce n'est franchement pas le moment. Force = masse x accélération. Impossible de résister aux lois implacables de la physique. Avec ses soixante-huit kilos tout mouillé, Sean Parker n'avais aucune chance d'empêcher l'énorme bureau en acajou de dévaler avec perte et fracas les marches de l'entrée du petit bungalow.
D'ailleurs, il n'essaya même pas.