Sous quelque forme qu'il se présente, un cadavre, ça fait mauvais effet. Mais celui que Kojak retrouve dans une chambre froide, suspendu à un crochet de boucher et fumé comme un hareng, est d'autant plus inquiétant que le crime est pratiquement signé : vendetta de la Mafia. Les journalistes étant connus pour faire leurs choux gras des affaires auxquelles est mêlée I'"honorable société ", nul besoin d'être devin pour prévoir les titres qui barreront la une des quotid... >Voir plus