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Bon, j'arrête au bout d'une cinquantaine de pages. Sentiment de perdre mon temps. Cette litanie de débauches sexuelles m'ennuie et je n'y vois aucun intérêt. le sexe peut mener à beaucoup de choses mais parfois à rien.
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Était-ce bien nécessaire ?
Que l'auteur ait souhaité une thérapie par l'écrit, on peut le concevoir.
Qu'un éditeur, vu le nombre de publications déjà disponibles chaque année ait misé sur ce texte me laisse plus dubitatif. A moins qu'il n'ait juste cherché à jouer sur les instincts (un peu bas) d'un lectorat potentiel....
Pas d'autres commentaires, et il n'y aura pas non-plus de citations...
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Catherine Millet, critique d'art, commissaire d'exposition et écrivaine parisienne a publié le récit de sa vie sexuelle libertine.

Ce livre est à mourir d'ennui. N'est pas écrivain qui veut.
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L'auteur nous raconte sa vie sexuelle de femme hétéro. Elle estime avoir une vie sexuelle hors du commun car elle a un nombre particulièrement élevé de partenaires, habituée de soirées échangistes.
En réalité, sa sexualité est tristement banale... elle avoue ne pas y prendre de plaisir, n'agir que pour le plaisir des hommes, être particulièrement "malléable", ce qui fait la joie de ses partenaires. Et donc la sienne. La première partie du livre "Le nombre" est la pire, on assiste à des description de ses actes sexuels dans un style morne.
Viennent ensuite des parties où elle insère un peu de réflexions sur cette sexualité échangiste... mais alors qu'on s'attendrait à une remise en cause de la place de la femme soumise, qui fait passer son plaisir après celui de l'homme et ne sait même pas où se trouve son clitoris... on assiste à une réflexion sur l'espace, le lieu (variation sur l'expression "s'envoyer en l'air"), qui a au moins le mérite d'être la partie la plus originale du livre, l'auteure étant spécialiste des arts visuels, elle est un peu plus dans son domaine.
Ne surtout pas s'attendre à une vraie réflexion sur la sexualité... Je ne pourrais même pas dire qu'elle a au moins le mérite d'initier une parole où le désir féminin chercherait à se dire, puisqu'il ne s'agit pas de son propre plaisir, mais de celui des hommes qui se pose sur elle.
POur finir, et c'est sûrement le point le plus important, car on peut sans doute écrire sur le sujet le plus ennuyeux tant que la langue est au rendez-vous... mais l'écriture de Catherine Millet, peut-être déformée par la pratique d'un journalisme académique, est juste insupportable. On aurait l'impression de lire un article "sérieux", mais sans les idées, bref sans l'intérêt... Aucune personnalité dans cette voix, aucune subjectivité, à l'image de ce corps qui passe de main en main en croyant peut-être suivre ses propres désirs.
Un livre sans profondeur, que j'ai lu jusqu'au bout parce que j'espérais qu'advienne un "contrepoint", pour me heurter finalement à une énorme déception littéraire.
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J'ai connu (pas au sens biblique du terme !) Catherine Millet dans cette excellente émission de Public Sénat "Bibliothèque Médicis" où elle venait parler de son dernier ouvrage, "Une enfance de rêve". Elle m'a plu, du charme, un beau visage, une souffrance à peine voilée, une expression claire et spontanée. L'animateur n'a pas manqué de faire allusion à son précédent livre "La sexualité de Catherine M." et, naturellement, ne n'ai pas pu m'empêcher d'aller y voir...
Non, ce n'est pas "cochon", malgré la débauche de sexes et de descriptions anatomiques. Ce n'est pas plus "cochon" qu'une séance de psychanalyse. Et c'est bien l'impression qu'en a le lecteur : celle d'être assis dans le fauteuil du psychanalyste, derrière le divan où se trouve allongée Catherine M.
Et elle écrit bien, dans un style parfaitement classique malgré le sujet qu'elle développe.
Sans doute sa sexualité doit elle beaucoup à son enfance "de rêve"
Un livre à lire, sans aucun dégoût.
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Elle a osé écrire ce livre. Son titre lui-même est une provocation lancée au futur lecteur. Mais l'amateur de pornographie sera sans doute assez déçu, même s'il y a du sexe, beaucoup de sexe, dans ce livre. Ce qui me choque - pas sur le plan moral, mais sur le plan simplement humain - c'est ce besoin de s'exposer devant tout le monde, de s'exhiber en tant que "machine sexuelle" offerte à d'innombrables hommes. Narcissisme pervers ? Volonté de choquer le bourgeois? Publicité donnée à une pseudo-psychothérapie sauvage ? En tout cas, chez Catherine M. il n'y a évidemment pas de sentiments, il n'y a pas non plus l'exubérance de la jouissance, il y a seulement l'obsession du sexe, presque mécanique, sinon acrobatique. Cette confession, sincère ou non, est loin d'être convaincante; elle me semble d'inspiration masochiste. Elle n'excitera pas le lecteur moyen qui, tout bêtement, a une sexualité normale et garde ses secrets intimes pour lui et ses partenaires. J'ajouterai que l'écriture de Catherine M. n'a rien d'attachant. Franchement, j'ai été satisfait d'atteindre enfin la dernière page.
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Ciel que la chair est triste. Autant de bruit pour un livre à périr d'ennui.
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Une vraie thérapie par le sexe, très bien écrit, un excellent ouvrage. Même si on est en overdose de toutes ces descriptions de sexe...
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Cette mise à nue d'une sexualité réelle ou fantasmée, ou sans doute un mélange des deux, ne manque pas de courage. Certes, elle peut choquer par sa crudité, mais, on a tout de même l'impression qu'elle est honnête, et cela est important ! Catherine Millet ose, ce qui pouvait être considéré comme un tabou, tout peut-être pensé ou vécu, mais raconté, écrit, quel scandale ! Elle propose un point de vue, le sien, dans un domaine, où la retenue est la règle et le témoignage l'exception. L'aspect quasi documentaire de cette sexualité informe de ce qui peut-être vécu ou fantasmé par une partie (sans doute minoritaire, mais peut-être pas ?) de la gent féminine.
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On a beaucoup parlé de "La vie sexuelle de Catherine M." récit autobiographique de Catherine Millet, c'est donc par curiosité que je l'ai lu.
Heureusement que je n'ai pas acheté ce livre car, même si je l'ai lu juste qu'au bout (certes en pointillés) j'ai eu du mal à entrer dans son trip érotico-psychanalytique aux relents SM et à l'écriture froide. Bon, ça sert à émoustiller et on peut comprendre sa démarche car la vie sexuelle de Catherine Millet n'est pas ordinaire. Tout n'est donc pas à jeter mais le résultat est quand même décevant.
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