Après un troisième tome que j'avais trouvé un peu trop lent, nous voici reparti sur les chapeaux de roue aux côtés de Martin Servaz.
L'homme a vieilli de 5 ans depuis l'affaire de Marsac et la disparition de Marianne.
Bernard Minier nous
glace à nouveau, entre Norvège et Autriche mais aussi là où tout avait commencé avec Julian Hirtmann. Une nouvelle tête fait son apparition, une femme flic aussi froide que la Norvège d'où elle vient.
Ce tome est pour le moment mon préféré de la série. La tension est palpable de la première à la dernière page. On pourrait regretter que Servaz se rapproche de plus en plus du surhomme (et la fin ne fait que confirmer cette voie) mais je ne peux pas m'empêcher de le trouver quand même touchant par certains côtés. Il reste un personnage que je trouve très intéressant et j'apprécie toujours de suivre ses péripéties, même si j'aimeras que la boucle avec Hirtmann finisse par se clore.
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