Un texte en trois parties qui fut jugé si scandaleux que, menacé d'un procès par la fille de Madame Hanska, Mirbeau le retira des premières éditions du roman où il figurait («
la 628-E8 ») après les avoir fait paraître comme « bonnes feuilles » dans des journaux.
Son admiration lucide mais frémissante de colère pour
Balzac. La grande force de la dernière partie, celle qui porte plus précisément sur la mort
De Balzac, retranscription (avec la plume Mirbeau) d'un entretien-confession avec Jean Ginoux, l'amant de Madame Hanska.
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