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Critique de Pecosa


Enfin la traduction française d'un grand roman historique au succès retentissant, No digas que fue un sueño, du Catalan Terenci Moix paru en 1986 et qui connut une suite intitulée El sueño de Alejandría deux ans plus tard.
Cléopâtre y apparait dans toute sa grandeur, aux côtés de César, de Marc Antoine, d'Octavie, de Césarion.

“Si alguien quiere saber qué es el amor, no diga nunca que fue un sueño. Cuando mis otros sueños fracasaron, éste existió con tanta fuerza que, al morir, lo invoco como el único dios que dirigió mis caminos.”

Les derniers jours de Cléopâtre est un grand roman d'amour avant d'être un roman historique sur le chant du cygne d'un royaume face à l'Empire romain. Dans sa barque qui remonte lentement le cours du Nil, la Reine est désormais La dernière des Lagides. Amoureuse, Mère, Reine, Stratège, Combattive, elle est sous la plume de Moix toutes les femmes, et ce alors que son monde s'effondre.
C'est une friandise avec de la passion et de la politique dedans, sous la plume parfois « théâtrale » que l'on aime chez ce romancier qui, à l'instar d'Almodóvar, sait si bien parler des femmes et de leurs désirs.
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