Citations sur Les Chroniques de Dani Mega O'Malley, tome 3 : Fièvre Née (32)
- Qui, chez les Faës, vous aime assez pour vous rendre ce service ?
Je connaissais la réponse: personne.
- Celui que j'ai épargné quand je lui ai demandé ce petit coup de main. Après avoir tué ses deux copains.
J'esquissais un léger sourire. Un seul mot: badass. Quand je serai grande, je veux être Jericho Barrons.
Une bête glacée sous moi, un homme brûlant derrière.
On devrait toujours adorer le parfum de l'autre quand on baise, ou alors, ce n'est pas la bonne personne.
La promesse de violence et de femmes nues a toujours été un appât irrésistible pour des hommes effrayés.
Je n'ose pas rester longtemps sans coucher avec lui, parce que c'est ce qui nous cimente, le lien qui nous unit, la seule attache, le seul collier, la seule laisse que l'un et l'autre peuvent accepter, l'endroit où tout le reste disparaît et ou nous devenons plus que ce que nous sommes individuellement.
On ne peut jamais corriger tout ce qui nous a laissé des regrets. S'excuser pour ses erreurs, pour n'avoir compris que trop tard que quelque chose n'allait pas.
Il faut du temps pour conditionner son cerveau à se fermer au lieu de se souvenir de l'être cher disparu. On peut s'accrocher à celui-ci avec des souvenirs aussi tranchants que des rasoirs.
J’esquissai un léger sourire. Un seul mot : badass.
Quand je serai grande, je veux être Jericho Barrons.
page 107
On devrait toujours adorer le parfum de l’autre quand on baise, ou alors ce n’est pas la bonne personne.
page 100
Cela ne servait à rien d’être désolé. Cela ne changeait rien. Ça obligeait seulement votre victime à pardonner quelque chose que vous n’auriez jamais dû faire.
page 45