Citations sur Les chroniques de MacKayla Lane, Tome 5 : Fièvre d'ombres (129)
- Tu as mis ma vie sens dessus dessous.
- Très bien, je m'en vais.
- Essaie et je t'enchaîne.
- Tu es Mac. Et je suis Jéricho. Et rien d'autre ne compte. Rien d'autre ne comptera jamais. Tu existes dans un endroit qui est au-delà de toutes les règles pour moi. Est-ce que tu comprends cela ?
Oui.
Jéricho Barrons vient juste de me dire qu'il m'aime.
J'eus soudain un éclair de compréhension de la psychologie masculine. Je me trouvais devant un problème insoluble. En revanche, si je pouvais en générer un autre, comme par exemple une bonne bagarre, et que je pouvais y passer toute ma rage, je me sentirais assurément mieux pendant un certain temps.
Les meilleurs bonimenteurs savent relever leurs mensonges d’une touche de vérité pour assaisonner leurs paroles d’un parfum plus crédible.
- Il n'y a rien avec quoi je ne puisse pas vivre. Il n'y a que des choses sans lesquelles je refuse de vivre.
J'ai enfin eu ce que j'étais venu chercher à Dublin. Je sais qui a tué ma soeur.
- Quel est le mot que vous ne comprenez pas ? demandais-je d'un ton suave.
- Arrêtez de regarder mon pénis, grommela-t-il.
Oh oui, c'était définitivement un mirage...
- Barrons adorait que je regarde son pénis, l'informai-je. Il aurait été ravi que je passe ma journée à l'admirer et à composer des odes à sa perfection.
D'un geste fluide, il me prit par le col et me mit sur mes pieds.
- Je ne suis pas un héro, Mac. Je ne l'ai jamais été et je ne le serai jamais, mais soyons clairs : je ne suis pas non plus un anti-héro, alors arrêtez d'essayer de découvrir mon potentiel caché. Il n y a rien qui puisse me sauver.
Il ne suffit pas de poser les yeux sur quelqu'un pour savoir ce qu'il vaut.
Il faut le regarder avec le cœur.
J'aurais dû vous plaquer contre un mur, vous embrasser jusqu'à perdre haleine et faire tout ce dont j'ai eu envie le jour où je vous ai vu pour la première fois dans cette fichue saleté de librairie.