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Six ans après l'excellent “Dans la combi de Thomas Pesquet”, Marion Montaigne élude les débuts de la paléontologie. Fascinée depuis sa tendre enfance par le film Jurassic park qu'elle a visionné à d'innombrables reprises, va naître alors une passion pour la science et les fossiles.
Une passion qui l'amène à raconter les débuts de la paléontologie à partir du 18è siècle et remonter le temps pour faire la critique des hommes et des femmes qui ont participé à son développement. Tout ceci en remettant dans le contexte historique de l'époque qui ne disposait pas de la technologie actuelle. En effet, la recherche manuelle, l'observation et leur conviction qui, fut longtemps liées au divin, étant leur seule façon de faire.
“Nos mondes perdus” est un album instructif et dense mais toujours avec une pointe d'humour pour ne pas rendre cela rébarbatif
Critique de Bdecouverte
Six ans après l'excellent “Dans la combi de Thomas Pesquet”, Marion Montaigne élude les débuts de la paléontologie. Fascinée depuis sa tendre enfance par le film Jurassic park qu'elle a visionné à d'innombrables reprises, va naître alors une passion pour la science et les fossiles.
Une passion qui l'amène à raconter les débuts de la paléontologie à partir du 18è siècle et remonter le temps pour faire la critique des hommes et des femmes qui ont participé à son développement. Tout ceci en remettant dans le contexte historique de l'époque qui ne disposait pas de la technologie actuelle. En effet, la recherche manuelle, l'observation et leur conviction qui, fut longtemps liées au divin, étant leur seule façon de faire.
“Nos mondes perdus” est un album instructif et dense mais toujours avec une pointe d'humour pour ne pas rendre cela rébarbatif
